Leur quotidien est celui de la mort. Il y a, aux côtés des missionnaires, un médecin, italien lui aussi, qui tente tant bien que mal de soigner ceux qui trouvent refuge à l'orphelinat, blessés par les machettes des miliciens. Costa le décrit hurlant de désespoir parce qu'il a perdu un enfant par manque de matériel de base : « On ne peut pas perdre un enfant pour un tuyau qui coûte 50 centimes ! »