Bien que la petite Charlotte n'eût pas l'air d'accepter sa naissance du tout — elle pleurait pitoyablement jour et nuit —, Franziska en était très heureuse. Elle la nourrissait elle-même et se sentait triste chaque fois que la toute-puissante puéricultrice lui retirait le bébé. C'était aussi toujours elle qui poussait la voiture d'enfant, haute et blanche, d'où dépassait la petite tête de la nouvelle Charlotte.