Les urbexers ressentaient une peur indicible, un état de frayeur qu’ils pensaient ne jamais pouvoir atteindre. Ils se retrouvaient projetés dans un film d’horreur ou un escape game grandeur nature, mais en infiniment plus effrayant. L’environnement leur sautait au visage à chaque détour de couloir, de cloison, de cage d’escalier…