Je tourne en rond dans le cloître, avec l'impression d'aller enfin quelque part, jusqu'au moment où je me décide à remonter dans ma cellule... et je m'aperçois alors que j'ai oublié le code de la porte d'entrée. J'ignore si les voies du Seigneur sont impénétrables mais celles de mon lit sont digitalement closes. Je suis forcé de déranger Dominique sur son talkie-walkie. Ce qui confirme que les retraités sont toujours des emmerdeurs.