Maurizia Rubino

J’ai pris cette bande dessinée à la médiathèque parce que sa couverture m’a attiré. L’encre rose fluo en relief, le robot en arrière plan en négatif, la gamme de couleur entre le vert, le noir, contrastant avec ce rose lumineux. Mais passé les premières pages, j’ai trouvé ce style très artificiel, les effets de déliés semble importés d’un logiciel informatique, le style est froid et très peu naturel. La silhouette de la petite fille et celle du nounours paraissent nous amener dans un récit pour enfant, mais l’histoire est vraiment très violente. C’est un récit post-apocalyptique, une guerre entre les ours et les corbeaux, les ours envoient des rayons laser avec leurs yeux et volent avec leur cape. Et il y a un petit ours qui ressemble à une peluche et une petite fille qui se trouve là perdue dans ce monde où elle semble être la dernière humaine. De la baston avec une petite fille au milieu, le scénario est sans nuances, je n’ai pu me prendre au jeu, cette lecture est presque dérangeante. À qui s’adresse cette bande dessinée ? Aucune idée. Je n’y ai pas décelé le moindre second degré, pas d’humour, pas d’allégorie, de parabole et encore moins de poésie, tout est à prendre au premier degré. N’est pas Winshluss qui veut.

Une bande dessinée jeunesse/ado sur la danse vraiment dans l'air du temps traitant de l'inclusion de manière générale.

Les jeunes danseurs passent les auditions pour intégrer l'école de leurs rêves mais tous ont des appréhensions.

Chacun d'entre eux va se sentir progressivement plus fort et plus confiant notamment grâce à l'acceptation et la solidarité.

Un joli point de vue avec en prime des dessins très agréables.

Je remercie Babelio et les éditions Auzou pour cet envoi MC.

Attirée par la couverture, puis pas les illustrations très douces et très fluo.



Me voici plongée dans un graphique post-apocalypse où les hommes ont disparu. Ainsi que les animaux. Dans ce décor onirique, les seuls survivants sont les corbeaux et les ours (volants) qui se font la guerre.



Un petit ourson qui ne sait pas encore voler se lit d’amitié avec une petite fille, seule rescapée.



J’avoue que je ne sais pas quoi penser de cette lecture. J’ai beaucoup aimé les illustrations. Mais les dernières pages sont confuses. Je n’ai rien compris. Il n’y a pas de fin. Pas d’explication. Quel dommage !

Lisette et sa meilleure amie Margaux rêvent d’intégrer une prestigieuse école de danse.

Arrivées dans cette école pour deux jours d’auditions, elles vont y faire de jolies rencontres. Les amitiés se créent, le stress monte, la peur de l’échec et les complexes se dévoilent, mais tous tiennent bon et nous donnent une belle leçon de solidarité!



J’ai adoré découvrir cette BD toute colorée et pleine de bienveillance! L’histoire est très en lien avec la réalité, elle aborde tant l’égalité des chances que les rêves et nous embarque dès la première page!



L’amitié, les complexes, les déceptions font partie des sujets présents dans cet ouvrage qui se veut plein d’espoir et déculpabilisant.



Je me suis beaucoup attachée à la jeune Lisette, ado en surpoids qui a une magnifique facilité à créer le lien et qui nous rappelle que tout est possible!



J’ai hâte de connaître la suite des aventures de cette bande d’amis!

Dans une forêt, une sorcière dotée de nombreux pouvoirs peut prendre des formes pour chasser, elle éloigne tout le monde de son château sauf les jeunes filles qu'elle enferme et transforme en oiseaux.



Lorinn et Lorinndell sont deux jeunes amoureux. Ils se promènent dans la forêt et s'approchent s'en sans rendre compte de chez la sorcière qui capture Lorinn et la transforme en oiseau.



Loriendell rêve d'une fleur qui pourrait l'aider à secourir Lorinn et se lance dans l'aventure pour la trouver.



Le principe est sympathique, une adaptation en bande dessinées des contes de Grimm et en plus ici, un conte méconnu : Jorinde et Joringel, est sympathique. Il y a plusieurs contes dans la série adaptés à chaque fois par un illustrateur différent.



L'histoire est tout simple. Je ne connais pas le conte d'origine alors je ne peux pas juger de la fidélité de l'adaptation. L'histoire est un peu naïve, toute courte. C'est une histoire pour les plus jeunes et ça leur sera bien adaptée.



On est vraiment dans le conte traditionnel avec un couple amoureux, un jeune homme qui fait tout pour sauver sa bien-aimée et une fin tout aussi traditionnelle.



Ce sont surtout les illustrations qui m'ont plu. Elles sont très colorées, charmante, naïves comme l'histoire. Les pages avec les oiseaux en particulier sont toutes jolies.



Un peu de magie, un peu de fantasy, cette histoire toute jolie est une bonne entrée dans la bande dessinée pour les plus jeunes.




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Alors que j'ai lu le "précédent tome sorti" pour lequel j'ai eu un beau coup de coeur, cette adaptation me semble plus rentrer dans le moule des contes de fées traditionnels avec des princes, des princesses, une sorcière mécontente avec une collection maniaque de mauvaises actions XD Pour autant, j'aime passer mon temps à lire ces jolis petits contes adaptés en BD sous un format superbe.

Conte onirique



Berthile et le monde sans espoir est le tout premier album Maurizia Rubino qui y fait montre de ses talents de conteuse…



Car son récit poético-onirique tient indéniablement du conte dans lequel chaque lecteur ou lectrice y projettera une part de lui-même, de ses peurs et de ses rêves. Elégant et généreux, son dessin est une petite merveille de douceur et d’inventivité et permet à l’autrice d’aborder des thématiques universelles tels que l’amitié ou la difficulté de ressentir ou d’exprimer des sentiments…



Après Rune Ryberg, Xulia Vicente ou Ileana Surducan, les Aventuriers de l’Etrange continuent de nous faire découvrir des artistes talentueux qui devraient refaire parler d’eux dans un avenir proche… Sot qui s’en plaindrait !
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*livre gagné grâce à la dernière masse critique @babelio_ que je remercie ainsi qu'à la maison d'éditions @editionsauzou pour l'envoi.



🌸 J'avais craqué en voyant la couverture et les dessins, et je suis bien contente d'avoir eu la chance de la recevoir ! Car vraiment les dessins et toutes ces couleurs sont magnifiques 😍.



🌸 C'est une histoire dans l'air du temps, remplie de peps et bienveillance mais on y voit aussi des moments d'incertitude, de manque de confiance ainsi qu'une certaine pression que l'on peut se mettre ou alors supporter de la part d'autrui.

J'ai beaucoup aimé me fait que l'on parle de la grossophobie, de démontrer que peu importe le poids que l'on fait quand on a des rêves, qu'on veut faire quelque chose rien ne peut nous empêcher il suffit d'y croire et de s'en donner les moyens.



🌸 Les personnages sont réalistes, sympatiques, j'ai eu plus d'accroche avec Lisette qui est jeune fille attachante, douce et déterminée mais également Alya qui est solaire et rigolote.

Je suis curieuse de lire le tome 2 et de continuer à suivre les aventures de cette bande d'amis.

Encore une BD que j’avais envie de découvrir. Les contes ça me rappelle tellement mon enfance! Le temps que j’ai pu passé le nez dans mes livres d’histoires que je lisais le soir. Je me souviens que parfois je me mettais dans ma chambre et je regardais mes livres, page après page. C’était juste le plaisir d’admirer mes livres. Et je pouvais en passer du temps juste à faire ça, j’aimais énormément. Bref, tout ça pour dire que mon amour pour les contes n’est jamais parti depuis tout ce temps. J’ai eu envie de lire celle mais elle m’a un peu déçue malheureuement.



Dans une forêt perdue, se trouve un château où habite une inquiétante vieille femme. Lorinn et Lorinndell, deux amoureux imprudents, se promènent au hasard jusqu’à s’approcher à moins de cent pas de la forteresse. Alors, comme par magie, lui se fige , elle se change en cordeau que la sorcière enferme dans une cage. Seule une fleur légendaire pourrait délivrer la jeune fille du maléfice.



Je ressors de cette lecture très mitigée. J’ai même été déçue. Je sais qu’une BD c’est très court et qu’on ne peut donc pas avoir une histoire qui traîne et qui est super développée. Mais ici le problème que j’ai eu avec cette histoire c’est qu’elle est très classique et beaucoup trop rapide finalement.. Vous voyez? Déjà il y a très peu de paroles et en plus l’histoire se déroule beaucoup trop rapidement, ce qui est très dommage je trouve mais bon. Après quand je dis que l’histoire est très classique c’est que l’on a deux amoureux et une sorcière au fin fond de la forêt qui va s’emparer de la jeune femme et son prince va venir la secourir. Voilà, comme je le dis très classique des contes finalement. Malgré tout, j’ai beaucoup aimé les dessins. Je les ai trouvés vraiment magnifique et c’était très agréable à la lecture.



Une histoire qui vous fera passer tout de même un chouette court moment mais sans plus quoi. Les dessins, eux par contre, sont vraiment jolis et j’ai pris plaisir à découvrir chacune des planches de cette bande dessinée. L’histoire reste basique, rien de bien fou même si c’était sympa.




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✨Un conte de fées graphique à lire de toute urgence ! ✨



👉 Après vous avoir montré la revisite du petit chaperon rouge, il me tardait de vous parler de cette très belle bande dessinée illustrée par une artiste italienne ! D’ailleurs, j’adhère vraiment au concept de ce label qui nous permet de découvrir des artistes au delà de nos frontières ! ❤️



🖌 Rien que pour vos yeux, je vous conseille d’aller découvrir cette jolie fable qui raconte l’histoire d’une sorcière capturant de jolies jeunes filles amoureuses. Un jour, alors que Lorinn allait demander en mariage Lorinndell, cette dernière se fait capturer par la sorcière. Lorinn va t-il retrouver sa belle ?



🔎 Ma critique express : j’ai aimé ❤️

- Les illustrations expressives

- Le découpage ultra rythmé

- Les cases sans bulles

- Découvrir une histoire qui m’était inconnue



🔎 Pour ceux qui veulent en savoir plus :



❤️❤️❤️ J’ai eu un énorme coup de coeur en lisant cette histoire ! Ce que j’ai aimé ? C’est l’association entre le découpage et les illustrations qui permettent de passer des moments de l’histoire sous silence et sans descriptions… La preuve que ça fonctionne de raconter une histoire en images !

Cette petite histoire dans la même veine que Raiponce, est accessible pour les petits avec des couleurs chatoyantes !



👉 Vous aimez les contes ? Et seriez-vous tentés par une revisite en BD ?
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C'est l'histoire de Lizette et Margaux. Ce sont deux amies. Elles rêvent d'être admise à l'Académie des Danses. Elles se présentent à l'académie pour passer les auditions. Ça se passe sur un week-end. Au programme  une visite médicale et deux auditions de danses. Elles se font des nouveaux amis. Qui va être pris à l'académie ?

J'ai beaucoup aimé le livre. J'ai bien aimé les dessins. Lizette est un personnage attachant. Elle a des doutes et elle a des formes. Son amie, Margaux est sûre d'elle. Elle veut être ballerine. Les deux filles font connaissances avec d'autres enfants. Il y a des amitiés qui se forment. Certains sont sûrs d'eux, d'autres se cherchent. J'ai hâte de découvrir la suite. Le livre parle d'entraide, d'amitié, de grossophobie et de danse.

Je remercie Babelio et les éditions Auzou pour la découverte de ce livre.

Mais cela ne va pas être simple. Sympa, sans complication, avec la place de la différence. Pour public mixte car il y a bien sûr de jeunes danseurs.
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Une BD qui m'a attiré grâce à sa couverture très pop, du rose, du bleu, du graphique ! Les personnages principaux sont attachants. Un passage plutôt émouvant, une aventure chouette à découvrir, une fin un peu confuse...

Cette fin me donne une impression de non abouti, ce que je trouve assez dommage !

Un jeune prince Lorindell tente tout pour libérer son amoureuse Lorinn transformée en oiseau et mise en cage par une sorcière dont la demeure se niche dans les profondeurs de la forêt. Une adaptation au très joli graphisme dans la collection "Les merveilleux contes de Grimm" d'un jeune éditeur "Les Aventuriers de l'Etrange" qui repère à l'étranger (Espagne, Roumanie, Italie, Danemark) des illustrateurs et illustratrices dont le style graphique le séduit.

L'histoire est assez simple, au final, un jeune homme veut délivrer celle qu'il aime des mains d'une sorcière qui l'a transformée en oiseau. Toutefois, derrière cette trame simpliste, l'auteure brode une récit assez attachant et plein d'émotion ou il est surtout question d'une vieille femme trop possessive qui veut enfermer toutes ces jeunes filles qui lui rappellent combien elle est dorénavant vieille.
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Le dessin est toujours enchanté, ce qui convient au conte, sans textes inutiles, très enlevé, parfait pour un jeune public et dans une belle livrée enluminée.
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L’enfer serait-il l’autre ou le contraire ? Il faut se laisser embarquer dans ce voyage souriant parfois, ambitieux mais si bien conduit. La liberté a un prix parfois très cher. L’espoir aussi. Émouvant et un dessin qui envoûte.
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Hélas, à trop vouloir filer la métaphore autour de l’amitié, de la rédemption, de la résilience ou de la bienveillance, elle perd le fil de son histoire qui n’était déjà pas claire au départ, et qui se poursuit dans la plus grande des confusions.
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