"Mon bébé, mon pirate, ma princesse... Mon boulet".
Je discutais avec une amie Babelio, qui cherchait un livre pour apprendre à son bout de chou, à gérer ses émotions... Une maman attentionnée!
-Nan, je veux pas!
Avec les bras croisés, les cris, et la moue ou les grimaces qui vont bien avec...
Mais, a-t-on pensé aux parents au bord de la crise de nerfs? Aux mamans indignes et fières de l'être, aux "serialmothers" ?...
A comme Au secours!:
"Je porte Bébé sur mes épaules, et je me dirigeais vers la maternelle, d'un pas alerte, grâce à mes jambes de déesse. Je balançais nonchalamment ma crinière soyeuse aux pointes totalement dépourvues de fourches. Quand soudain: le bruit. Et l'odeur.
Elle m'a pété dessus, quoi."
B comme Beauté:
Enceinte, tu auras de beaux cheveux, et de beaux seins! Une baleine a une belle poitrine? Ou c'est le lamentin?
Car je... me lamente sur les nausées et mon poids!
B comme Bébé:
Bébé a trop chaud, trop froid, il pleure dans son petit lit à barreaux. On se demande de quel côté, la liberté ? J'ai envie de le remplacer par un... aquarium. Ça ne chiale pas, un poisson-clown...
C comme caca-strophe:
Bébé se réveille avec un petit caca dans sa couche. "Il enlève sa couche, et la range dans le coffre à jouets ( des fois que...) puis s'essuie avec la pile de linge qui attendait d'être rangée, puis les doigts avec les draps, puis descend de sa chambre au salon, en se tenant au mur..."
Ma seule consolation... raconter ce caca-story, quand il aura 18 ans, devant tous ses amis!
C'est mesquin, mais c'est légal !
P comme Publicité mensongère: "Être mère me rend belle tous les jours!".
Sommeil en pointillés, lait caillé sur mes vêtements, cheveux en bataille et rides précoces...
Vous avez connu ça?
Surtout alors que "l'Autre" dort tranquillement pendant que bébé braille.
Z comme zizi:
La petite sous la douche, essaie de faire pipi debout.
-Pourquoi tu fais ça ?
-Pipi avec une quéquette!
-T'as pas besoin de quéquette, tu as un cerveau.
Papa intervient:
-Je t'ai entendu! :-)
D'autres livres politiquement incorrects :
"Sois mère et tais toi", " Journal intime d'une mère indigne", "J'ai été une mauvaise mère", et " Touche pas à mon ventre."
"Les enfants? C'est bien à petites doses. Comme l'homéopathie". Olivia Moore.
A force de vouloir être parfaites, ( ne pas fumer, ni boire, devenir une Superwoman...) les mamans frôlent l'overdose, d'où ces livres qui font rire en déculpabilisant. Débarrassées de l'Homme, les femmes ont trouvé un autre boulet: les bébés...
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J'ai tout de suite adhéré au style de l'auteur, je pense que le fait d'avoir le même âge et d'avoir connu les mêmes choses durant mon enfance ou adolescence ont jouées.
Une lecture rafraichissant mais à ne pas lire d'une traite afin de ne pas se lasser, j'ai lu quelques chapitres par ci par la après le travail en lecture détente.
J'ai vraiment aimé le style vif comme si on était une amie de l'auteur, les situations qu'elle décrie comme par exemple lorsqu'elle indique que tous ces amis cherchent à la caser, les sites de rencontres, les vacances avec ces amis.
Une lecture qui fait sourire ou l'on sent toute l'autodérision dont fait preuve Nadia Daam car on se doute que cela ne doit pas toujours été évident d'être mère célibataire.
Une belle découverte pour ma part!
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Comment ne pas devenir une fille à chat de Nadia Daam est un ouvrage lu grâce à net galley et les éditions Fayard (Mazarine) que je remercie :) Et oui, je suis très chanceuse, je lis énormément d'ouvrages en tout genre grâce à ce site.
Nadia Daam est convaincue qu’on peut être mère célibataire, tutoyer la quarantaine, avoir son enfant une semaine sur deux et le vivre pas trop mal.
Comment ne pas devenir une fille à chat est présenté comme un véritable guide de survie pour les femmes (mamans ou non) célibataires et fières de l'être :)
Je l'ai lu il y a quelques jours et j'ai bien aimé ce livre même si je ne suis pas sure d'en garder un grand souvenir.
Je ne suis pas concernée car mariée, avec un enfant et.. un chien :) En plus, j'ai plus de quarante ans ! Mais cet ouvrage me faisait de l’œil depuis que je l'avais vu en promo dans quotidien de Yann Barthès, et je ne regrette pas ma lecture.
Toutefois, c'est un peu trop caricatural par moment. Certes il y a de l'humour et c'est agréable à lire grâce au style assez incisif de l'auteure. Mais pour moi, elle en fait un peu trop.
J'ai apprécié certains passages, notamment quand elle explique qu'il y a des endroits où il est difficile d'aller en étant seule : au resto, au cinéma, au concert.. et elle explique pourquoi. J'ai aimé ces chapitres là, car je trouve qu'elle a raison. Et j'ai rit quand elle explique pourquoi il faut y aller quand même :)
L'ensemble est plaisant à lire mais tous les chapitres ne sont pas égaux, certains sont plus réussis que l'autre.
Je mets trois étoiles, c'est une lecture d'été qui plaira à pas mal de personnes :)
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- REJOUISSANT! -
"Ses 14 ans ont façonné ses hanches et fiché une cible sur sa silhouette".
"A-t-on, sans le préméditer et même en le redoutant, cousu sur eux leur habit d'amoureux avec le même fil émoussé qui a déjà raccommodé nos frusques ?"
J'ai pour habitude de revendre mes livres après les avoir lus: les livres, c'est encombrant et "conserver" crée une dette de ménage qui sera à charge, souvent, d'autres que soi. De surcroît, j'ai la quasi certitude que je ne rouvrirai pas 95% des livres que j'ai lus. Alors, je fais tourner: revente, dons, boîtes à livres,...Bref, je vire!
Sauf pour mes coups de coeur, pour ces livres que je suis certaine de relire, ceux (les pauvres) que je n'ai pu m'empêcher de crayonner, d'annoter, de martyriser sur l'autel de l'enthousiasme, de l'émerveillement ou de l'érudition.
"La gosse" est de ces livres-là et va bientôt prendre la navette en direction de mon (petit) mausolée littéraire car, non seulement il est acquis que je le relirai, mais il est certain que je le ferai lire à ma fille, car " j'ai compris que c'est ce qu'il s'est passé en un peu moins de vingt ans, la Terre s'est réchauffée, plus de pelle et de seau moins de cris, mais deux femmes qui prennent soin l'une de l'autre. Tourner les talons mais toujours revenir sur ses pas. Et ça, ma fille, ma gosse, ma douce, mon incendie, ma Sasha (Victoire), tu le diras à ta fille et à la fille de ta fille".
C'est drôle, impertinent, désopilant, insolent, piquant, tranchant, émouvant, sincère, ça vient des tripes et ça touche le coeur. Ça déménage et ça remue!
Etre la mère d'une fille, ce n'est pas une aventure banale et Nadia DAAM, avec humour et intelligence, interroge la transmission, le passage de génération, la mue de la mère pas toujours en phase avec celle de la fille, cette dissonance qui, parfois, détonne, mais cette tendresse qui, toujours, raccommode. On crée ce lien si particulier comme une araignée tisse sa toile, jour après jour, millimètre par millimètre, en improvisant, souvent, en acceptant de lâcher prise, parfois, en ayant l'audace de faire le pari de la confiance, celle qui fait lâcher les dernières digues de la parentalité inquiète pour laisser le papillon s'envoler.
Avec beaucoup d'intelligence, fardée avec pudeur sous une bonne couche d'ironie et de second degré, l'autrice aborde les grands thèmes qui agitent les consciences des mères, et beaucoup se reconnaîtront car ces questionnements sont universels, au fond: qu'est-ce que je souhaite transmettre, comment le transmettre, suis-je trop ou pas assez, comment "ma gosse" me voit-elle, suis-je un modèle ou le chemin à ne pas suivre, suis-je à la hauteur de ses chagrins et de ses joies, à la hauteur de ce projet que j'ai accueilli, assise sur la lunette des WC, les yeux un peu humides rivés sur un symbole mathématique fiché dans un petit bâtonnet banc/bleu, de "créer" un être humain?
Je ne saurais que trop vous enjoindre de foncer chez votre libraire préféré pour vous procurer cette petite pépite, ce petit guide de survie à destination des mères un peu foutraques à l'armure d'acier mais au coeur de guimauve, conscientes que "le plus difficile dans la maternité, c'est cette inquiétude intérieure que l'on ne doit pas monter (A. Hepburn)".
Car, chacune le sait, on ne nait pas mère, on le devient. Toute sa vie durant.
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Je suis devenue mère à peu près en même temps que Nadia Daam. À l'époque on lisait ses déboire de jeune maman sur le blog des mauvaises mères et je pense que ça a du en décomplexer plus d'une. 18 ans (et trois adoes) plus tard, j'étais curieuse de redécouvrir sa plume, d'autant plus que si les textes sur la maternité et l'arrivée des enfants dans le foyer sont assez courants, on donne encore rarement la parole aux mères d'adolescentes.
C'est pourtant une période très particulière que l'autrice passe en revue dans cet inventaire désordonné et structuré en courts chapitres. Peu à peu, celle qu'on a toujours protégée va s'émanciper et même commencer à prendre soin de nous. La plume est juste, touchante quand elle dit l'émerveillement devant notre progéniture dont on ne saura jamais s'il est parfaitement justifié ou juste une preuve d'aveuglement parental. Les pages filent avec douceur dans ce texte léger (peut-être un peu trop ?) et très court (peut-être un peu trop ?)
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« La Gosse », c’est une histoire de vie, celle d’une mère, qui élève seule sa fille et qu’elle voit grandir et s’émanciper.
« La Gosse », c’est ce livre que toutes les mamans de petite fille, d’adolescente, de jeune femme, de femme, devraient lire.
« La Gosse », c’est aussi ce livre que toutes – même celles qui ne sont pas mères, devraient lire tellement il est bourré d’humour, d’impertinence – que dis-je, d’insolence, mais aussi d’intelligence, de sincérité et de justesse.
C’est, en effet, avec un humour très fin, beaucoup d’ironie et d’auto-dérision, et surtout sans aucune fioriture, que Nadia Daam nous livre son expérience la maternité. Et, par ce biais, les difficultés rencontrées dans l’éducation d’une fille, qui deviendra femme, dans un monde où il faut être féministe, mais pas trop ; s’assumer, mais pas trop ; être bien dans ses baskets, mais pas trop (et se peser trois fois par semaine, parce que chaque gramme compte, mais ne surtout pas le dire) ; être indépendante (surtout, affectivement), mais pas trop ; être un parent libéral, mais pas trop ; être un parent exigeant, mais pas trop ; et la liste est longue.
Nadia Daam démonte avec justesse, bienveillance, et surtout, sans aucune forme de jugement, le mythe de la mère parfaite – qui, dieu merci, n’existe pas. Et, on ne va pas se mentir, ça fait un bien fou. Même pour celles qui ne sont pas (encore) mères.
Mais, « La Gosse », c’est surtout une très belle déclaration d’amour de l’auteure à sa fille. Un amour inconditionnel (« Tourner les talons, mais toujours revenir sur ses pas »).
Et, en tant que « fille », et même si je n’ai jamais eu besoin de ça pour être reconnaissante de ce que mes parents m’ont donné, j’ai d’autant plus envie de dire « MERCI » à ma maman. Merci pour toutes les angoisses qu’elle a dû ressentir, à l’idée d’élever une fille, dans un monde pas très joli, sans ne jamais rien laisser paraître ; pour tous les questionnements qui ont certainement agités sa conscience, jour et nuit, sans que cela n’ait jamais aucun impact sur mon enfance, mon adolescence, et maintenant, ma vie de femme.
Je dois également remercier @netgalleyfrance et @editionsgrasset qui m’ont gentiment permis de lire ce livre.
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Histoire de vie ... celle de Nadia DAAM qui élève seule sa fille que l'on voit grandir au fil des pages. Des moments de tendresse, d'agacement, de dissensions mais toujours de proximité et d'amour.
J'ai eu la chance d'assister à une rencontre autour de ce livre avec l'autrice. Et le livre était à la hauteur de cet moment: émouvant avec des instants plus légers
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Voici un drôle de bouquin qui déculpabilisera les nouvelles mamans qui ne se sentent pas à la hauteur ... ça fait peur et ça fait rire ... mais ça vous permet de relativiser ... les mères parfaites ça n'existe pas et ça n'existera jamais ... alors faites de votre mieux sans vous prendre la tête .. ne faites pas trop de promesses sur la façon dont vous aller gérer tout ça avant... vous verrez bien que ça ne se passera jamais comme vous pensiez que ça irais ... bref la vie de maman c'est toute une aventure, une vraie quête du Graal pour enfin pouvoir se reposer... mais ne sont ils pas mignons ces bons petits diables en fin de compte??
Le bonheur d'être maman ... mmmh je demande à voir...
Voici le récit de 3 mauvaises mères... mais pas si mauvaises que ça à mon avis...
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Ayant sensiblement le même âge que Nadia Daam, je me reconnais beaucoup dans ce qu’elle raconte dans ce volume sur l’enfance et l’adolescence, que ce soit les siennes ou celles de sa fille. Son expérience partagée parlera donc probablement beaucoup aux mères quadragénaires d’adolescents.
Ce court récit invite à la réflexion sur notre propre histoire et notre rapport à la maternité / parentalité. De plus, même si certains passages (le début notamment) sont très émouvants, l’humour de l’autrice est bien présent et rend cette lecture sympathique et agréable.
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Offert par une amie au moment à la naissance de notre fille...quel bonheur, quand on est en train de prendre ses marques avec le rejeton, le manque de sommeil, son nouveau corps, oui, quel bonheur de pouvoir lire quelques pages, entre 2 tétées.
Ce livre rassemble des aventures de 3 mamans aux vies et choix très différents quant à leur descendance. Elles racontent avec humour et sensibilité leurs expériences de "mauvaises mères". C'est vraiment très réaliste, en tant que jeune maman on se retrouve facilement dans ces chroniques de la vie ordinaire, et ça m'a fait sourire, parfois même rire.
Les épisodes sont assez courts, ça m'a permis de continuer mon passe temps favori malgré le changement de rythme; la légèreté du texte permet une vraie pause détente. De très agréables moments, à lire et offrir sans hésiter, y compris aux papas!
J'aimerais vous faire partager quelques citations mais j'ai prêté le livre à une amie enceinte :) !
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J'avais vu arriver ce livre sur les rayons de la médiathèque en me disant que c'était une lecture pour moi, la célibataire aux trois chats.
En quelques chapitres elle raconte très bien ce que c'est qu'être une célibataire trentenaire - et ça marche aussi pour les quadra d'ailleurs - avec ou sans enfants -sauf peut-être quelques situations particulières. C'est avec beaucoup d'humour qu'elle démonte les clichés sur ce que doit être une femme.
Une lecture divertissante et intéressante
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On suit l'autrice qui se confit sur l'enfance puis l'adolescence de sa fille d'aujourd'hui 18 ans.
La difficulté de l'élever seule, son père étant décédé, la différence entre sa propre adolescence et celle de sa fille, comment allier sa vie de femme et de mère, et surtout ses interrogations comme "est on aussi" pénibles " que nos propres parents ? "est ce plus facile d'élever une fille quand on est féministe ?", "tombe t on dans les mêmes travers que la société impose ?".
Finalement, Nadiam Daam nous rappelle, non sans humour, que le temps passe vite et qu'il faut profiter des moments qui pour la plupart ne reviendront jamais et qu'on fait toutes et tous comme on peut suivant le bagage qu'on a reçu.
Livre doux et touchant.
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Même si je ne suis pas ce que Nadia Daam qualifie de "fille à chat", j'ai tout de suite été interpellée par le titre - comme par à peu près tous les livres qui comportent le mot "chat" dans leur titre.
Comment ne pas devenir une fille à chat est un véritable guide pratique à l'usage des mères célibataires de 40 ans (et + +). Nadia Daam est un mélange entre Wonder-woman - capable de travailler sans relâche tout en étant en avance à la sortie des classes de son Enfant personnel, de choper malgré son statut, ô combien lourd à porter, de mère célibataire et ses quelques (nombreux) défauts -, de Bridget Jones - qui fume trop, boit trop, fonde trop d'espoir sur trois points de suspension à la fin d'un texto, éternelle victime de la charge mentale -, et de "Catherinette" (on sait que vous savez ce que c'est, mais en ce qui me concerne, je ne savais pas que Sainte Catherine était morte vierge et martyr. Bref, quelqu'un de normal.
En quelques courts chapitres, elle nous raconte ses déboires, ses galères, ses petites victoires sur le quotidien. C'est souvent drôle, mais selon moi, parfois un peu too much et cliché. Je suis persuadée que j'aurais beaucoup plus apprécié ses (més-)aventures si j'avais été moi aussi, une "célibattante", si j'avais plus pu me projeter dans les situations qu'elle décrivait. Ce petit livre reste pour autant sympa à lire et très bien pour se détendre un peu !
Mention spéciale pour les dessins de Leslie Plée qui sont TROP CHOUX - surtout ses petits chats !
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Flirtant avec la quarantaine, célibataire, un chat (Pompon) et une petite fille, Nadia Daam entreprend de battre en brèche tous les clichés (généralement sexistes en plus) qui s'attachent au célibat. Rien de neuf sous le soleil, sauf sans doute ce féminisme assumé, ce côté trash aussi, façon Blanche Gardin, qui renouvellent le genre avec panache.
Une lecture qui donne le sourire , qu'on soit célibataire ou pas.
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J'ai découvert ce titre lors d'une masse critique Babelio et je me suis dit pourquoi pas sachant que je ne lis pas tellement de développement personnel mais bon quand il y a un chat dans l'histoire moi ça me va!
Ce fut une lecture très rapide, déjà il est pas bien gros mais en plus de cela la lecture se fait très facilement. Puis il faut dire que je me suis vraiment bien marré! L'humour de l'auteure est comme je l'adore, l’autodérision est très présent et elle va s'amuser à détruire un par un les clichés et ça j'adore.
Je me suis pas identifié à cette histoire, ma vie n'est pas la même (mais j'ai des collègues qui l'ont...) mais ce fut un véritable divertissement pour moi et ça change de ce que je lis habituellement. Je me suis quand même reconnu sur certains points car elle ne parle pas que des femmes célibataires.
Il y'a quand même certains passage qui vont pour toutes nanas, célibataire ou non. et même si je n'étais pas forcement le public visé, ce fut une très bonne lecture! Une lecture pleine d'humour et qui fait volé en éclats les préjugés sur les femmes en général et surtout sur les femmes célibataire avec un enfant.
Bref, un livre pour toutes les femmes célibataire ou non, avec ou sans enfant, autodérision, ironie et humour sont au programme pour quelques heures de liberté
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