Bien sûr qu’il m’est fort agréable de vivre au Ritz, mais pour être honnête avec vous, Speidel, j’ai fini par nous voir avec les yeux de Jünger : comme un essaim de frelons avides et vaniteux.
Sur ce, il se tait et scrute le fond de son verre vide.
C’est l’heure où la vérité jaillit de l’eau-de-vie.