L'intention est bonne pour expliqué le propos qui est sur les problèmes des agriculteurs. Mais je trouve inutile de le faire un roman graphique surtout en noir et blanc, la couleur aurai eu ici sa place, vu que sujet est la nature, la culture. il semble pas avoir une trame historique à raconter, à suivre. C'est des rencontres d'agriculteurs qui raconte leurs nombreuses difficultés. Ce ne fut pas un plaisir à lire et avec un dessin qui aurait pu être remplacer par des photos des lieux et des personnes interviewés et le texte en colonnes cela aurait été plus efficace.
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Avant toute chose, je tiens à remercie Babelio et les Editions du Sabot Rouge Jeunesse pour l'envoi de cette petite bande dessinée dans le cadre d'une Masse Critique.
"Les chiens" est le deuxième tome d'une série de BD intitulée "l'Ara de Rosa" qui fait référence à la célèbre peinte Rosa Bonheur.
Vivant dans le sud de l'Essonne, proche de la Seine-et-Marne, je connais bien le coin et avais adoré me promener à Thomery, où se situe le château de Rosa Bonheur et qui est le lieu où se déroule l'intrigue. J'étais donc très curieuse de découvrir cet ouvrage.
Sur le plan des illustrations, il y a des jolies planches, les couleurs chatoyantes sont agréables et attirent le regard, important pour un jeune public, mais le traitement esthétique réservé aux animaux ne m'a pas plu. D'autant plus lorsque l'on traite de Rosa Bonheur, célèbre pour les portraits de sa ménagerie... Le renard et le sanglier ne sont, à mon goût, pas très bien faits et le cerf, qui apparaît brièvement, a plus une tête de bovin que de cervidé...
Sur le plan de l'intrigue, il est question de l'arrivée du train à Thomery et des bouleversements que cela crée, sur fond de tensions entre viticulteurs. En effet, Thomery était célèbre pour son raisin qui était acheminé par bateau vers Paris. Sur cette partie de l'intrigue, j'ai beaucoup aimé avoir le point de vue des animaux sur la construction des voies de chemin de fer et l'arrivée de cette "chose bruyante et rapide, tremblante et rampante" et de ce "crissement infernal qui fait trembler le sol et fuir les animaux." (Page 9)
Le point pédagogique et historique, réussi, à hauteur d'enfant, laisse ensuite place à une aventure car Yvon, un des chiens de Rosa Bonheur, disparaît et les autres animaux partent à sa recherche. C'est là, selon moi, que le bât blesse. La raison de sa disparition n'est pas crédible et la résolution de cette intrigue se fait trop rapidement et est invraisemblable. Tout retombe comme un soufflé.
Une résolution plus réaliste et historiquement fidèle aurait été préférable.
Je comprends le besoin d'aventure dans une bande dessinée destinée à un très jeune public mais le choix fait par l'auteur est difficilement compréhensible.
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Plutôt déçue par ce petit album aux coloris printaniers. L'histoire est plutôt tirée par les cheveux et l'évasion des protagonistes reste bien floue. De plus les personnages sont peu naturels et leurs expressions figées. Le tout manque d'unité et de belles surprises. Même les dessins pleine page n'échappent pas au fouillis de cette histoire que je voulais raconter à mon petit fils de 5 ans. Je vais renoncer.
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(Opération Masse Critique)
Je suis plutôt mitigée sur cette lecture. J’aurais aimé l’aimer, car j’apprécie le travail de Rosa Bonheur. Mais pour moi, le compte n’y est pas.
L’histoire met du temps à se lancer (presque 1/3 du livre). Et ce temps n’est l’occasion ni de montrer la vie quotidienne de la ménagerie, ni d’approfondir les personnages et leurs relations, mais plutôt celui de se plaindre du développement du train au détriment du bateau, dans une scène d’exposition longuette, peu fluide et peu naturel. J’ai trouvé ça un peu lourd, avec un discours gratuit et moralisateur disant « le progrès, c’est mal ».
Alors qu’il aurait sans doute été plus intéressant et pertinent de s’intéresser à l’effet du train sur l’écosystème et au bouleversement que cela constitue pour la faune (thème qui est expédié en une page).
Il me semble qu’il y a un écart entre le public cible (à partir de 6 ans, d’après le site de la maison d’édition) et l’écriture de l’histoire. Les notes de bas de page me semblent parfois inutilement explicatives (par exemple celle qui indique que Thomery est « au sud de la Seine-et-Marne, près de Fontainebleau »). L’intrigue autour d’un monopole commercial n’est pas mise en scène. Elle est expliquée par un des personnages, ce qui ne permet pas, à mon sens, de rendre clairement compréhensible à des enfants les enjeux de la situation.
À partir de la disparition du chien Yvon, le rythme s’accélère et les péripéties s’enchaînent, même si les dialogues, au lieu d’illustrer l’action, restent trop explicatifs.
J’ai aimé avoir une biographie de Rosa Bonheur à la fin de l’ouvrage, accompagnée d’un de ses dessins de chiens. Mais je suis un peu déçue que Rosa Bonheur et son art soit si peu présents dans l’histoire elle-même. Je crois que j’aurais aimé que les dessins et peintures de Rosa Bonheur soient mêlés aux dessins de Pierre-Yves Cezard.
Bref, pour moi, ce livre à de bonnes idées et de bonnes intentions, mais peine à les concrétiser et manque d’émotions.
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Livre gagné à la dernière Masse critique. BD pédagogique qui explique la transmission des maladies.
Une aventure exceptionnelle de l'Ara de Rosa pour célébrer les bicentenaires des naissances de Rosa Bonheur et de Louis Pasteur (1822)
Panique et inquiétude au château de Rosa Bonheur ! La femme de ménage a attrapé une maladie inconnue. Afin de trouver les causes de la maladie, Louis Pasteur se rend au château et enquête sur toutes les personnes et les animaux, venus parfois de très loin, avec qui la malade a été en contact.
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reçu lors de l'opération masse critique. Un bon ouvrage de vulgarisation peut être un peu compliqué pour des enfants de 6 ans. Je trouve dommage que Rosa Bonheur ne soit pas plus présentée (peut être est-ce le cas dans un autre tome). Les dessins sont agréables aussi.
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Incompréhension résume cette lecture.
C'est l'histoire de Joseph un étudiant rationnel travaillant à temps partiel dans une librairie ésotérique. Il fait une thèse sur les théories alternatives en géographie à travers les âges
Son patron est conspirationniste et avec un de ses amis , ils invitent Joseph à participer à une expédition au « pôle Sud historique » pour démontrer que celui-ci n’existe pas et, accessoirement, que la Terre est plate.
Je pensais que l'histoire allait démonter ces vérités et faits alternatifs et bien non...
Le récit nous embarque dans un mélange d’ésotérisme, de surnaturel et de saut temporel, sur fond de réchauffement climatique.
Et c'est là que je me suis perdue, je n'ai pas compris la finalité de cette BD.
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Joliment illustré, ce journal nous fait traverser la vie du commandant Cousteau, de son enfance à son héritage culturel. C'est très accessible, j'ai appris des choses, pas rébarbatif, avec un petit dossier photo à la fin. La tranche d'âge 'dès 9 ans' me semble bien adaptée, un plus jeune bon lecteur s'y retrouvera aussi
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