Anne Michel

Sa bite dans mon cul, un manche à balai, probablement, dans ma chatte, menaient maintenant une danse infernale. Le plaisir m'inondait. Puis l'orgasme vint, force 9 sur mon échelle de Richter personnelle.

Je suis loin de partager cette opinion ! J'ai trouvé le texte plein d'humour, et loin de la soupe sirupeuse qu'on nous fait prendre pour de la littérature érotique depuis la parution de Fifty shades. Les scènes d'amour sont relevées certes, mais tout sauf avilissantes pour des partenaires toujours consentants et prêts à de nouvelles découvertes. A lire en souriant!

Nous vivons dans une société qui colle des étiquettes à tout et à tout le monde. Mais aimer, ce n'est pas quelque chose que l'on peut cataloguer... Il y a autant de manières d'aimer que de partenaires.

Je suis loin de partager cette opinion ! J'ai trouvé le texte plein d'humour, et loin de la soupe sirupeuse qu'on nous fait prendre pour de la littérature érotique depuis la parution de Fifty shades. Les scènes d'amour sont relevées certes, mais tout sauf avilissantes pour des partenaires toujours consentants et prêts à de nouvelles découvertes. A lire en souriant!

Je détestais le sport, tous les sports, sauf celui qui consiste à dire du mal du monde entier un verre à la main. Soyons précis : baiser, à mes yeux, n'est pas un sport. C'est un jeu. Mais là n'est pas la question. Il y a deux ans, pleine de bonnes résolutions sur l'entretien de mon corps et d'illusions sur la nécessité de manger bio pour vieillir vieux, j'avais malgré tout tenté le séjour planche à voile. J'en étais revenue avec le dos en compote ce dont je tenais pour responsable une literie en très très mauvais état. Mes compagnons de galère étaient tout sauf séduisants. Et la planche, il avait été impossible de s'en approcher pour cause de vents à plus de 90 km/h, ce qui n'était définitivement pas un temps à mettre un débutant à l'eau.

J’ai toujours eu un faible pour les navigateurs, les aventuriers, les rêveurs immobiles. .. Pour les hommes qui se servent des apparences comme d'un maquillage qui sert à dissimuler autre chose, une attente, une quête, un désir inassouvi. Et côté maquillage, avec mon métier, croyez-moi, j'en connaissais un rayon.
J'aimais les hommes qu'il était impossible d'attraper au lasso. Le côté figé des autres m'a toujours fait peur. Moi-même rêvant toujours d'être ailleurs, j'avais du mal à croire qu'on puisse se trouver bien là où on était, bien au point de ne jamais vouloir en bouger.

Il avait des yeux marron, une peau mate, le regard sombre, la musculature parfaite. On aurait dit un jeune animal sauvage, pas encore complètement dompté. Il me faisait penser au renard du Petit Prince.

J'avais quatorze ans lorsqu'un garçon pour la première fois s’introduisit en moi. Devant, derrière, la bouche, il me prit partout et par tous les trous. Il me présenta ensuite à ses amis.
À seize ans, je crois que j'avais expérimenté en matière de sexe plus que certains trentenaires.

Les mecs aiment regarder les filles qui marchent sur la plage. Mais l'inverse est tout aussi vrai. Très vrai.

Je n'aime pas les villes désertes. Une ville, c'est fait pour être habitée, pas désertée.