Citations de Dominique Monféry (35)
Là-bas, au milieu de cette nature sauvage, on se sent vraiment libre, vivant.
Moins on les soigne, mieux elles se portent.
Mourir ici ou ailleurs, je ne vois pas la différence.
Tu m'as frappé parce que tu sais que j'ai raison.
Il n'y a de démons que celles et ceux qui transforment en enfer la vie des autres. Je ne suis certes pas un ange, Monsieur, mais je désire offrir à votre fille ce bonheur que vous-même êtes incapable de lui accorder.
Alors, viens avec moi. On passe ensemble ou on tombe ensemble. C’est ainsi qu’on parle entre frères, non ?
- Grand pardon, Madame, de vous importuner, et de marcher ainsi dans vos pas empressé, mais je suis convaincu d'avoir vu votre tête.
- Eh bien maintenant, voilà chose faite. Adieu.
- Attendez ! Savez-vous qui je suis ?
- Sûr de vous et collant : vous avez tout d'un homme.
- Si on m'avait dit un jour que je serrerais la main du diable...
- Oh ! Certains le tirent bien par la queue.
- N'y comptez pas, Méphisto.
« Avec force et volonté ». Je ne cessais pas de me répéter ces mots pour occuper mon esprit.
Il n’est pas question que je te laisse faire ! Tu sembles être plus motivé par un désir de vengeance que de justice !
Être désirée par Lucifer en personne ! Je suis inquiète autant que flattée.
Personne ne peut forcer un homme à abandonner sa maison. Ni les juges, ni les notaires, ni les gendarmes.
Non, tu ne peux pas ! Ce n’est pas de gaité de cœur, je m’adapte à la dure loi du Grand Nord, froide, impitoyable.
Harkey avait coutume de dire que les loups sont comme les requins de la terre.
Ta bonne morale de citadine ne peut pas s’appliquer entre ces quatre murs. Les conditions sont différentes, ici. Je le déplore, mais il faut s’adapter à certaines règles pour survivre. Remets les choses en perspective ! Reviens aux sources !
Tu as raison. Ce que je veux dire, c’est que tu as traversé un océan pour retrouver ta liberté. Là-bas, au milieu de cette nature sauvage, on se sent vraiment libre, vivant.
Il n’y a de démons que celles et ceux qui transforment en enfer la vie des autres.
Pas un « bonjour », pas un « mademoiselle », ni un « madame ». Quand les bien-pensants condamnent une femme qui n’a rien fait d’autres qu’être elle-même, ils lui retirent ses titres et son respect.
Je vais plutôt faire comme d’habitude et ne compter que sur moi-même.
Ce que nous faisons de mieux, escrimer et chanter, en donnant des spectacles d’épées.