Des espoirs, Elizabeth en possédait en nombre, mais celui qu’elle chérissait et qui l’attachait à la ville en tout temps et à toute heure du jour ou de la nuit portait le nom, le formidable nom de « journaliste ». Elle aurait donné ses malles, son lit, ses robes, ses chaises et tous ses autres espoirs pour ce nom qui accaparait sa tête aussi bien que son cœur.