Ken Wakui

— Rejoins-nous. J'aime ton style... Takemichi Hanagaki.
— Des mecs qui savent se battre... c'est pas ça qui manque. Mais ce qui est beaucoup plus rare, c'est les gens comme toi prêts à se taper contre n'importe qui pour protéger ce qui compte pour eux...

Peu importe que tu t'inclines devant les gens ou pas... L'important, c'est de veiller sur les autres.

Si l'un de nous est blessé, on le protégera tous. Un pour tous et tous pour un.

Tu verses toutes les larmes de ton corps pour les autres... et tu souffres avec eux de tout ton coeur. Personne... n'est aussi beau que toi.

- Je ne suis plus... Celui que t'as connu.
- Peut-être... Mais tu seras toujours mon frère d'armes !

Face à ce genre de boloss... L'important, c'est le courage et la détermination. Faut être prêt à te prendre des coups dans la gueule ! Mais quoi qu'il arrive, t'écrase pas, reste debout... Quitte à en crever. Les baltringues... Ça les fait flipper.

Tant que je serai là, le Toman ne sera jamais vaincu.

Tokyo est évidemment le lieu parfait. Tokyo c'est loin, les gens y vivent vieux, mangent du riz et sont rarement diabétiques. Compte tenu de ce qui m'arrive, savoir que je ne finirai pas aveugle et amputée des deux jambes est une joie.

Tu dois enregistrer le plus d'informations possibles sur le Tokyo Manjikai.

Il a toujours été comme ça. A chaque fois qu’il souffrait il avait ce grand sourire.

Qu'est-ce qui compte le plus pour toi ?

Non, je retiens jamais la leçon… et c’est justement mon point fort !

Draken est "l'âme" de Mikey.

Les gens peuvent trahir n'importe qui.

- C’était un truc de ouf Takemichi !! - Tu m’as complètement bluffé !! - Hein ? - T’as tapé dans l’œil de Mikey l’intouchable !! - Ah bon ? C’est pas vrai … Ce psychopathe me kiffe ?!

NAOTO : Tu ne trouves pas ça bizarre ? Tu as beau essayer de changer l'histoire encore et encore... elle se termine toujours par la mort de ma soeur. Coïncidence ? Je ne pense pas. Cette constance est suspecte. (p.125)

Ce nouveau chapitre, c’est toi qui l’as écrit.
Cette nouvelle ère t’appartient.

Tu te bats seulement quand c’est perdu d’avance, hein?

Je te l’ai dit… ma vie est entre tes mains.

J'ai continué ma route seul. Mais je pouvais pas m'en empêcher. Je pouvais pas empêcher ma propre perte.