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Citations de Lyla Mars (284)


Je ne doute jamais de rien ; sinon des certitudes.
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Je les regarde s'amuser le coeur battant. Algorithma peut dire ce qu'il veut, le "fléau de la solitude" ne se résout pas qu'avec une simple bague au doigt. Il n'y a pas que l'amour. Il y a aussi ces fils rouges qui s'emmêlent inexplicablement avec ceux des autres, par hasard. De simples noeuds, et ces autres deviennent des amis. Puis des personnes indispensables à votre existence.

Depuis que je suis enfant, je me persuade que je n'arrive pas à avoir d'amis. Mais c'est faux. Et je me dois de l'admettre. Je m'interdisais d'en avoir. Car je ne veux pas de couteaux dans le dos, de faux espoirs, de lien au poignet qu'on pourrait couper à tout moment. Je ne veux rien de tout ça.
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L'amour, c'est pas ça! L'amour, c'est dans les galères, dans les petits moments, dans les secousses. L'amour, c'est s'époumoner, éclater en sanglots, s'effondrer de rire, crier, transpirer... L'amour, c'est un truc qui se passe là où ça bat, c'est pas un putain de pourcentage.
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La vérité, c'est que tu as le droit de te tromper.
Tu as le droit d'avoir le cœur brisé, pour apprendre à le reconstruire. Tu as le droit de revenir en arrière, de changer de chemin ou même d'aller dans la cambrousse en tracer un nouveau. Tu as le droit de trébucher, de tomber, ou de rester allongée sur le sol, si ça te chante. C'est normal. Parce que c'est ça la vie. Et tout ça vaut aussi pour tout type de relation. C'est dur, c'est incroyablement effrayant, mais il faut le faire. Il faut prendre des risques. Ou on ne goûtera jamais à la vie.
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Ne laisse aucune blessure d’enfance pourrie en toi.
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Soudain, il se détache de moi pour fouiller dans ses poches. Il en sort un anneau. Son alliance.
Quoi ?
— Tu ne l’as pas jetée ? demandé-je.
— Non... Même si elle ne représente rien en soi, je n’ai pas réussi à le faire. Je crois que c’est parce que c’est avec ça que tout a commencé pour nous deux.
Sans ce mariage, cette colocation forcée et la mascarade qu’on a menée pendant plusieurs semaines, je crois que nous n’aurions jamais découvert cette force irrépressible entre nous.
Il prend ma main, et place l’anneau au creux de ma paume.
— Je veux que tu le gardes. Pour te rappeler que, peu importe comment j’agis, peu importe ce que je dis, je suis lié à toi. Et je ne peux pas jeter cette vérité dans l’océan.

Je sens ma gorge se nouer alors que je regarde la bague scintiller dans ma paume.
Soudain, une décharge me traverse.
J’allais oublier !
Je plonge les doigts dans ma veste et sors mon alliance.
— Je ne l’avais pas laissée dans ma cabine. Je l’ai cachée parce que j’étais aussi incapable de la jeter. Et j’ai eu du mal à comprendre pourquoi... Tout ce que je sais, c’est que c’était impensable.


(p133)
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— Ton sac est vide.
— Comme mon cœur quand tu me parles sur ce ton,
Eliotte, dit-il en faisant la moue.
Il fait un cœur avec ses mains qu’il brise en séparant ses
doigts les uns des autres.
— Désolé, je n’ai rien d’autre que mon PC, réponds-je en
retenant un sourire. Je t’enverrai le cours... alors tu ferais mieux de me laisser le taper.
— C’est pas bientôt fini vous deux ?
Matthew et moi nous retournons simultanément pour dévisager la fille qui nous a interpellés.
— Ça n’a même pas commencé pour tout te dire, répond Matt du tac au tac.


(p184)
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ALERTE COUP DE COEUR GALACTIQUE !
J'ai tout simplement ADORÉ ! Une lecture aussi captivante que passionnante je ne sais même pas quoi commencer à dire pour vous parler de mon ressenti... c'était exceptionnel. Je ne m'attendais à rien de particulier et j'ai été simplement SCOTCHÉE. C'était INCROYABLE. Foncez les yeux fermés si vous aimez les romances profondes et les réflexions qui le sont tout autant. Je suis tombée amoureuse de la plume de l'auteur, de ses idées, de son monde (et d'Izaak...).
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Ils contôlent ta vie amoureuse, pourquoi pas ton téléphone.
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Écoute ton cœur. Il a toujours raison.
Si tu sens que c'est lui, c'est que c'est lui.
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"La vérité, c'est que j'ai toujours un carnet ou un bloc-notes à portée de main. Pour tout. Je n'utilise que très rarement mon téléphone. Et qui nierait que transmettre un message à l'ancienne n'a pas son charme ? Les mots ont un petit quelque chose en plus quand ils sont tout nus sur le papier. Et puis, je ne sais pas...la sensation que procure l'écriture plaît à mes doigts. Ce n'est pas lisse, plat ou froid comme avec un écran. C'est granuleux, avec des plus parfois, pas tout à fait blanc, et on peut se couper si on est trop pressé. Il faut prendre son temps avec le papier. "
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« Les mots sans les actes, ne sont que des lettres agglutinées entre elles. Tu ne peux pas aimer, sans agir en conséquence. »
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On a attrapé cette dernière étincelle d'espoir et nous l'avons entretenue et protégée dans le creux de notre paume. Trois ans pour modifier nos résultats ? Très bien. On y arriverait.
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On m'a toujours dit que c'est pile quand on dit avoir besoin d'être seul qu'on a le plus besoin de compagnie.
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La vérité c'est que, tout ce dont j'avais toujours rêvé, c'est d'être parfaitement normal. De ne pas avoir un esprit aussi éveillé, je voulais être un mouton manipulable, qui ne questionne rien et se laisse tranquillement porter par le troupeau.
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— Je ne savais pas que c’était ton genre de fille, lancé-je.

— Oh ! si, si... Elle est intelligente, drôle, rentre-dedans... et t’as vu son cul ?

Un rire nerveux m’échappe.
Je vais le dézinguer.

— Je sais que vous ne vous appréciez pas trop tous les deux mais... je trouve que c’est vraiment une fille impressionnante. Elle a quelque chose.

Oui : un mec. Moi.




(p215)
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— Moi, j’ai tellement envie de toi, murmure-t-il. Depuis si
longtemps.
Je regarde son torse, éclairé par la faible lumière orangée
des lampes de chevet. Ses muscles sculptés sont d’autant plus saillants sous l’éclat doré de sa peau.
Il se penche vers moi et mon cœur manque un battement.
— Bien trop longtemps... Tu m’as fait dépasser toutes les putains de limites que je m’étais tracées.
Le temps se suspend. Un, deux, trois secondes... À nouveau, le monde autour de nous est aspiré dans le vert incandescent de ses yeux. Une mèche de ses cheveux chatouille mon front.
— Si tu savais à quel point je te veux, Eliotte. À quel point j’en meurs, murmure-t-il. Hier, ce soir, et demain encore.



(p455)
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— J’arrive pas à croire que tu m’aies cru capable de partir sans rien dire...
— Après notre conversation de la veille, ça me semblait évident, dis-je d’une petite voix.
— Mais sérieux, Eliotte... Moi ? Partir ? Et tu penses vraiment que je me serais barré sans ma jeep ?
— Je...
— Ou pire : sans toi ?
Je lève le regard sur son visage, incapable de parler. Il
fait un pas vers moi et s’approche de mon corps qui recule contre le mur simultanément.
— Je ne serais jamais parti sans te le dire, souffle-t-il. Tu m’entends, Eliotte ? Jamais.
Sa main chaude trouve la mienne et je me laisse aller dans le vert de son regard, complètement absorbée.
— Je ne pars pas, moi, murmure-t-il. Quand je suis là, je reste. Et je viendrai toujours te chercher si je sais que tu m’attends quelque part dans ce monde.


(p423)
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Depuis le début, je pensais avoir affaire à cet Izaak-là, sans comprendre pourquoi il était si différent de l’image que je m’étais faite de lui. Mais en réalité, il y avait tout ce temps devant moi le vrai Izaak. Celui qui n’était « pas si égoïste que ça », même du tout ; celui un peu distant mais toujours là en cas de besoin ; celui un poil condescendant mais diablement drôle ; celui qui faisait mine de rouler des yeux, en étant pourtant toujours inquiet pour l’autre ; celui qui était cru, parce que jamais hypocrite ; celui qui était seul mais seulement parce que personne ne le comprenait.
Je suis une idiote aveugle.


(p298)
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Ton cœur est opaque, mais ton cerveau transparent
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