Nationalité : Canada
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Biographie :
Marie-Claude Barrette devient à l'automne 2009 collaboratrice à l’émission "2 filles le matin" à TVA puis co-animatrice pour les saisons 2010, 2011 ainsi que 20121. Elle collabore aussi à l'émission de radio "Les matins de Montréal" sur les ondes de Rythme FM.
Conjointe de Mario Dumont, elle s’est intéressée très jeune à la vie politique où elle a connu son conjoint. Durant l'élection générale québécoise de 2008, elle s'implique activement au côté de son conjoint.
Pendant ses 14 années dans le Bas-St-Laurent, elle a occupé le poste de responsable du financement pour le Musée du Bas-Saint-Laurent et directrice générale de l’École de musique de Rivière-du-Loup.
Facebook : https://www.facebook.com/marieclaudebarrettePageOfficielle
Marie-Claude Barrette devient à l'automne 2009 collaboratrice à l’émission "2 filles le matin" à TVA puis co-animatrice pour les saisons 2010, 2011 ainsi que 20121. Elle collabore aussi à l'émission de radio "Les matins de Montréal" sur les ondes de Rythme FM.
Conjointe de Mario Dumont, elle s’est intéressée très jeune à la vie politique où elle a connu son conjoint. Durant l'élection générale québécoise de 2008, elle s'implique activement au côté de son conjoint.
Pendant ses 14 années dans le Bas-St-Laurent, elle a occupé le poste de responsable du financement pour le Musée du Bas-Saint-Laurent et directrice générale de l’École de musique de Rivière-du-Loup.
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Ma vie m’a permis de comprendre qu’il ne fallait pas tout mettre sur le dos des autres. Je ne veux pas que les gens fassent les choses à ma place, je veux partager autant les victoires que les défaites. J’ai besoin de mettre la main à la pâte. Je n’aime pas être protégée. Je veux connaître les faits et savoir ce que je dois affronter. Le doute m’habite, sans m’empêcher d’avancer.
Je n’arrive pas à me contenter de ce que la vie m’offre. Je ne suis jamais rassasiée. J’aime les débordements, les imprévus. Le mot « impossible », je n’y crois pas. Les limites sont des indicateurs de plaisir. Plus elles sont importantes, plus la satisfaction est grande quand vient le moment de les dépasser.
Il y a des gens pour qui la vie sera toujours plus difficile. Ils s’attardent à ce qui ne va pas. Ils veulent ce qu’ils n’ont pas sans réaliser ce qu’ils ont. D’autres, même si tout s’écroule, trouvent quelque chose de positif à tirer de la situation. Tout est une question de perception.
Je n’ai jamais imaginé ma vie comme un long fleuve tranquille. Je ne me suis jamais demandé pourquoi telle ou telle chose m’arrive et pas aux autres. J’ai toujours cru en l’amour, sans jamais rêver au prince charmant. J’ai toujours su faire face aux épreuves. Mes choix n’ont pas toujours été judicieux, mais je sais qu’au moment de prendre certaines décisions difficiles j’étais convaincue que c’étaient les bonnes. Quand j’attaque un projet, je déploie toute mon énergie pour le mener à terme. L’échec ne me fait pas peur. Comme dirait ma mère, j’ai la tête dure.
On doit être conscient du genre de personnes qui nous entourent. C’est une responsabilité qui nous appartient. On doit être en mesure de discerner qui nous fait du bien ou pas aux différentes périodes de notre vie. En ce qui me concerne, les fatalistes ont très peu d’espace dans mon quotidien. Disons que ma tension monte rapidement en leur présence.
Avant de juger, je veux connaître tous les faits. J’ai compris que, quand notre instinct et nos convictions vont dans le même sens, il faut les entendre. Il faut se faire confiance et aller jusqu’au bout de ses choix. Il faut repérer les gens qui croient en nous et ne pas perdre de temps à tenter de convaincre les autres.
La politique a toujours fait partie de notre vie de couple. Nous avons toujours surveillé ce que l’on dit et ce que l’on fait. Nous sommes souvent entourés de gens que nous connaissons à peine, et ces inconnus ont des attentes. Nous ne devons pas les décevoir. Je n’aime pas la sensation de devoir plaire aux autres.
Quand vient le temps de défendre nos idéaux ou de faire face aux moments difficiles de la vie, nous sommes au combat. Pas de cachette, pas d’apitoiement, on ne flanche pas, on garde le cap, et ce, la tête droite. Nous n’utilisons pas les mêmes armes, mais nous sommes des combattants redoutables.
Je n’aime pas que l’on m’indique la façon dont je devrais penser, et c’est pourquoi j’ai de la difficulté avec les principes simili-spirituels où les adeptes nous disent sérieusement : « Si ça ne va pas, lance ça dans les airs et l’univers répondra. »
Malheureusement, la vie est imparfaite. Il faut savoir prendre la meilleure route pour soi, et non pas nécessairement la plus facile. Je suis à la croisée des chemins.
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