Citations de Mayalen Goust (37)
-- Lisa, ceux qui réussissent ne sont pas les meilleurs, ce sont les plus... les plus entêtés.
Je crois que les conditions ne sont pas encore venues pour les visites de harkis. C'est exactement comme si on demandait à un français de la résistance de toucher la main d'un collabo. C'est très dur (Abdelaziz Bouteflika).
Régner c'est choisir , et choisir c'est souffrir ! Tu es née Romanov, mais c'est peut-être aujourd'hui que tu le deviens vraiment, Anastasia. A toi de sentir maintenant de quel bois est faite ton âme. Es-tu une femme ou une reine ?
la mort vaut mieux que la honte !
Ne me juge pas Volodia... On aime qu'une fois.
Voyez ces soldats ! Hier ils faisaient feu, aujourd'hui ils se taisent, demain ils renverseront le trône !
Encore heureux que nous n'ayons pas de religion. Dieu nous aurait damnés pour ce que nous avons fait.
-Mes respects, vous savez mourir. En silence. L'œil sec. C'est navrant. Tant de gâchis pour une cause perdue d'avance.
Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent.
Ce n'est pas la violence mais le bien qui supprime le mal.
Régner c'est choisir , et choisir c'est souffrir ! Tu es née Romanov, mais c'est peut-être aujourd'hui que tu le deviens vraiment, Anastasia.
Lisa, ceux qui réussissent ne sont pas les meilleurs, ce sont les plus...les plus entêtés.
Ton âme est blanche général. Mais mon cœur est rouge. ~Volodia~
Dis donc camarade Soleil tu ne trouves pas que c'est plutôt con de donner une journée pareille à un patron ?.
[...] ceux qui réussissent ne sont pas les meilleurs, ce sont les plus... les plus entêtés.
(p. 74)
- Régner c'est choisir, et choisir, c'est souffrir ! Tu es née Romanov, mais c'est peut-être aujourd'hui que tu le deviens vraiment, Anastasia.
La grande révolution dans l'histoire de l'homme, passée. présente et future, est la révolution de ceux qui sont résolus à êre libres.
J.F.K.
- Pourquoi vous avez choisi de vous battre pour la France ?
- Quoi ?
- Pourquoi vous avez...
- On vous apprend vraiment rien à l'école. [...] J'ai travaillé pour les Français. Je me suis pas battu pour la France. C'est différent.
(p. 46-54)
Il faut le savoir, Lisa. La France a laissé les harkis et leurs familles pourrir dans des camps pendant des années.
On les a enfermés comme des bêtes. On les empêchés d'aller à l'école, de travailler.
(p. 90)
En France on me met dans un camp... et je rencontre Louise au village. Avec son père, ils ont tout fait pour me faire sortir. j'ai eu de la chance. Louise m'a appris à lire et à écrire. Il faut le savoir, Lisa,. La France a laissé les harkis et leurs familles pourrir dans des camps pendant des années. On les a internés comme des bêtes . On les a empêchés d'aller à l'école, de travailler. Moi j'ai eu de la chance. (p. 90)