Nationalité : France
Né(e) le : 23/07/1974
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Né(e) le : 23/07/1974
Biographie :
Et bien heureusement il devint scénariste, pas dessinateur... Telle pourrait être une belle épitaphe ! Né au siècle dernier au même endroit que Napoléon, je n’ai de commun avec lui, outre l’origine, que le fait d’être monté à Paris. Pas par rêve de grandeur, par amour et pour enseigner…
J’ai été élevé à Récré A2 et regrette la disparition de Goldorak et ses amis, même si les Chevaliers du Zodiaque m’ont maintes fois tenu éveillé des nuits entières.
Mes influences ont été diverses, de « Thorgal » à « Storm » de Don Lawrence en passant par « Gai Luron », « Raymond Calbuth », les « X-Men » de Chris Claremont entre autres… Mais rien ne surpassera jamais la maestria des « 7 vies de l’épervier », l’œuvre ultime de la BD. Merci Cothias, merci Juillard.
Et n’oubliez pas, comme l’a dit mon illustre compatriote insulaire, « l’imagination gouverne le monde »
Nicolas Antona signe en janvier 2016 un premier album, "La tristesse de l'éléphant", aux éditions des Enfants Rouges avec la dessinatrice Nina Jacqmin. Ont suivi "Nihasa", "le fleuriste", les 2 tomes de "Prima Mater, le diptyque "Lady Whitechapel", "Naïs", "P.L.U.M.A.", en attendant les sorties en 2024 de "Un Tigre à la campagne" et "Kamalari"
Facebook: https://www.facebook.com/nicolas.antona
Insta: nicolasantona
Twitter : https://twitter.com/AntonaNicolas
+ Voir plusEt bien heureusement il devint scénariste, pas dessinateur... Telle pourrait être une belle épitaphe ! Né au siècle dernier au même endroit que Napoléon, je n’ai de commun avec lui, outre l’origine, que le fait d’être monté à Paris. Pas par rêve de grandeur, par amour et pour enseigner…
J’ai été élevé à Récré A2 et regrette la disparition de Goldorak et ses amis, même si les Chevaliers du Zodiaque m’ont maintes fois tenu éveillé des nuits entières.
Mes influences ont été diverses, de « Thorgal » à « Storm » de Don Lawrence en passant par « Gai Luron », « Raymond Calbuth », les « X-Men » de Chris Claremont entre autres… Mais rien ne surpassera jamais la maestria des « 7 vies de l’épervier », l’œuvre ultime de la BD. Merci Cothias, merci Juillard.
Et n’oubliez pas, comme l’a dit mon illustre compatriote insulaire, « l’imagination gouverne le monde »
Nicolas Antona signe en janvier 2016 un premier album, "La tristesse de l'éléphant", aux éditions des Enfants Rouges avec la dessinatrice Nina Jacqmin. Ont suivi "Nihasa", "le fleuriste", les 2 tomes de "Prima Mater, le diptyque "Lady Whitechapel", "Naïs", "P.L.U.M.A.", en attendant les sorties en 2024 de "Un Tigre à la campagne" et "Kamalari"
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Quelqu'un m'a dit un jour : La vie, c'est des étapes. La plus douce, c'est l'amour. La plus dure, c'est la séparation. La plus pénible, c'est les adieux.
J'avais rencontré un ange et demain, pour sûr, je lui parlerai.
J’étais amoureux ! Comme ça, sans prévenir. Un électrochoc , une paralysie tout en douceur, sans heurt.
Quelqu'un m'a dit un jour : "La vie, c'est des étapes. La plus douce, c'est l'amour. La plus dure, c'est la séparation. La plus pénible, c'est les adieux. La plus belle, c'est les retrouvailles." Ben je vais te dire. C'est vrai... Et je crois qu'il est temps de la retrouver.
Tu sais, mon vieux compagnon, on m'a dit un jour : "La vie, c'est des étapes... La plus douce, c'est l'amour... La plus dure, c'est la séparation... La plus pénible, c'est les adieux... La plus belle, c'est les retrouvailles." Ben je vais te dire... C'est vrai. Et je crois qu'il est temps de la retrouver. T'en penses quoi?
Tête haute jeune homme! Vous me devez une explication, vous ne nous avez pas habitués à cela.
Je... Je ne sais pas, je ...
Comment s'appelle-t'elle?
Je... Je ne sais pas, je ...
Comment s'appelle-t'elle?
On ne faisait rien d’autre que parler, surtout elle qui était bien plus dégourdie et extravertie que moi. Je voyageais à l’écoute de ses pérégrinations. Mais plus que cela, je m’évadais dans ses yeux
-Alors, nous continuons la lettre pour ta Dulcinée?
-Elle ne s'appelle pas Dulcinée, elle s'appelle Clara. Vous ne m'écoutez pas quand je vous parle?
-Il y a manifestement quelques manques à combler dans votre culture littéraire jeune homme.
-Elle ne s'appelle pas Dulcinée, elle s'appelle Clara. Vous ne m'écoutez pas quand je vous parle?
-Il y a manifestement quelques manques à combler dans votre culture littéraire jeune homme.
Il est une tristesse si profonde qu'elle ne peut pas prendre la forme des larmes.
Mon animal préféré, c'est le papillon, rien ne l'arrête, il est libre d'aller où il veut.
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