Zoya et Manavi sont deux adolescentes, vivant dans la cité totalitaire de
Kosmograd. Ici, pas de place à la générosité ou à la joie de vivre.
Le monde est en proie aux dérèglements climatiques et la ville est assiégée de réfugiés.
Cet univers dystopique imaginé par Bonaventure, met en avant de nombreux problèmes sociétaux actuels ( immigration, crise des réfugiés, catastrophes climatiques ) et leurs traitements, m'a , je dois l'avouer, touchée.
Les couleurs froides utilisées accentuent cette ambiance délétère et angoissante de fin du monde.
Cet ouvrage n'est pas réjouissant mais néanmoins, je l'ai dévoré d'une traite, appréciant la critique sous-jacente de notre société.
Je lirai avec plaisir le second tome !