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EAN : 9782234096653
208 pages
Stock (06/03/2024)
3.99/5   50 notes
Résumé :
«  Au moment de la mort de mon père, m’est revenu comme un boomerang le texte  La Place  d’Annie Ernaux. Ce livre que j’ai découvert à l’âge de vingt-cinq ans m’avait bouleversée et avait trouvé une résonnance très forte en moi. Nos histoires, notre passé, nos trajectoires n’étaient pas les mêmes et pourtant un socle commun nous constituait. Celui fait d’une volonté farouche de s’extraire de sa condition sans jamais se couper de ses racines ni se renier.De l’annonce... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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[Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices de Elle 2024]

Dans ce récit autobiographique, Rachida Brakni nous fait partager les six jours difficiles qu'elle a vécus du 15 août 2020, date de la mort de son père, au 20 août 2020, date de son enterrement en Algérie, à Tipiza, tout près du village de Sidi Rached où il est né et auquel Rachida doit son prénom. Elle apprend la mort de Kaddour alors qu'elle se trouve loin de lui. Elle devra rejoindre Morangis, là où vit sa famille, en train, avec son célèbre compagnon dont elle ne livre ici que le prénom. Éric tente bien de la soutenir, mais le chagrin est trop puissant pour qu'elle réussisse à s'en extraire. Les choses ne sont déjà pas faciles à cause du weekend du 15 août, mais le Covid vient tout compliquer. Avant même que Rachida soit arrivée à destination, les souvenirs affluent et elle replonge avec émotion dans son enfance avec, au centre, la figure de Kaddour. Elle se remémore les voyages en Algérie, pendant les vacances scolaires, la 505 débordant de cadeaux pour la famille et les voisins. Elle se rappelle les blagues idiotes du père auxquelles les enfants ne réagissent qu'à cause de son rire si contagieux, les arrangements avec la vérité pour que famille et voisins croient à une vraie réussite de cette famille émigrée en France… Kaddour voulait être enterré en Algérie, et malgré le Covid, sa volonté pourra être respectée.
***
Rachida Brakni se livre sans fausse pudeur, sans exhibitionnisme non plus. Elle prend le parti de raconter sans fard et sans pathos. Elle parle de la jeunesse de Kaddour, du courage qu'il lui a fallu pour sortir de l'enfance sans lâcher prise malgré tous les traumatismes subis. Elle raconte les débuts de son immigration, les difficultés incessantes, la pénibilité du travail, le racisme banal et quotidien. Il était déjà à Paris en octobre 1961, lors de la sanglante répression de la manifestation des Algériens par le préfet Papon de triste mémoire. Rachida Brakni dit les espoirs de son père, ses regrets, le sentiment d'avoir perdu sa culture propre et de ne pouvoir faire partie d'une autre… Mais elle parle aussi d'elle-même, de ses propres difficultés, de ses pauvres mensonges d'écolière pour paraître comme tout le monde. Il est beaucoup question du sentiment d'exil. de celui du père, d'abord, qui ne sentira jamais vraiment chez lui en France, qui, parfois contre toute logique, persistera à ne pas prendre la citoyenneté, et qui demandera à être enterré en Algérie. du sien propre, aussi, parce que comme beaucoup d'immigrés de la deuxième génération (quelle horrible formule !), elle se sent partagée entre deux cultures et a souvent l'impression de renier et de trahir tantôt l'une, tantôt l'autre. Mais par-dessous tout, ce récit exprime tout l'amour, l'affection et l'admiration d'une fille pour un père attentif, aimant et généreux. Un beau livre, plein de tristesse, forcément, mais aussi d'amour et de reconnaissance.
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Samedi 15 août 2020 : on annonce à Rachida Brakni la mort de son père Kaddour. Alors qu'elle rejoint Paris, en train, elle évoque sa peine tandis que les souvenirs commencent à remonter. Elle va devoir faire face aux contingences administratives : nous sommes alors en plein COVID et de surcroît c'est la période des vacances. Kaddour a toujours voulu être enterré en Algérie, il a payé pendant des années une assurance censée s'occuper de la logistique, mais celle-ci a fait faillite depuis plusieurs années.

On va suivre les évènements sur une période de cinq jours avec la famille au gré des repas de funérailles, des discussions entre hommes, entre femmes, avec la difficulté de s'isoler pour respirer un peu et laisser le chagrin s'installer, au gré des souvenirs qui remontent. On découvre un homme discret, son humour, de l'arrivée en France, avec les difficultés d'un travail souvent lourd qui a laissé des séquelles dont il ne se plaint jamais.

Il a pris soin de sa famille, de l'éducation des enfants, et Rachida se rappelle les échanges, les vacances en Algérie, les traumatismes aussi (ce jour noir du 17 octobre 1961 et de la répression violente qui a coûté la vie à de nombreux algériens). Comment ne pas se sentir proche de cet homme, étranger partout : considéré comme Algérien en France, Français en Algérie, avec une tristesse liée à l'exil.

"L'exil, jusque dans la mort sépare et déchire les familles."

Il est fier de la réussite de sa fille, même si parfois il ne la comprenait pas avec cet échange savoureux lorsqu'elle choisit d'apprendre le latin : « une langue morte qui ne sert à rien », et qui pour lui relève du catholicisme. le soin qu'il met à choisir son costume pour la première de Ruy Blas, afin de lui faire honneur « pour qu'elle n'est pas honte de lui »…

"Ai-je déjà éprouvé de la honte à ton égard ? Je ne crois pas. Ne serait-ce pas plutôt de la gêne ou de l'embarras ? le dire ou l'écrire m'écorcherait le coeur et briserait le tien. Si la honte est une seconde peau dont on voudrait se défaire, alors non, tu étais tout au plus comme un pull angora qui gratte, une gêne intolérable pour un vêtement si beau qui ne mérite pas de rester au fond du placard ou qu'on s'en débarrasse."

J'ai beaucoup aimé ce récit plein de pudeur et de tendresse qui évoque le deuil, la tristesse mais aussi les moments heureux. Il m'a profondément touchée, j'ai eu l'impression de partager l'intimité alors c'est pour cela que ma chronique sera brève pour ne rien trahir de l'émotion ressentie…

J'ai aimé la façon de Rachida Brakni évoque la dureté de l'exil, les difficultés à s'intégrer lorsqu'on est coincé entre deux cultures, ne voulant pas risque de perdre ses racines…

L'écriture est belle, sobre, mais elle touche directement au coeur. C'est la première expérience de l'auteure en littérature, et c'est très prometteur… et la couverture belle et très évocatrice : un olivier, qui résiste à tout, et s'adapte aux climats comme celui que Kaddour a planté dans le jardin : on ne plante que arbre qui donnent des fruits, et peuvent nous nourrir…

Ce livre, très court, m'a tentée immédiatement, dès la première fois où j'ai entendu Rachida Brakni en parler à la TV, et comme je suis son parcours depuis longtemps ainsi que celle de son célébrer compagnon, résister à la tentation n'a pas été envisagé, même l'espace d'un quart de seconde.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Stock qui m'ont permis de découvrir ce roman et son auteure

#Kaddour #NetGalleyFrance

Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Ce roman autobiographique débute le 15 août 2020, avec l'annonce de la mort du père de l'auteure, Kaddour, et se termine le 20 août en Algérie où il est inhumé sans sa famille pour cause de frontières fermées en pleine crise de la COVID. Pendant ces six jours, où Rachida Brakni se retrouve au milieu de ses tantes, oncles, cousins, amis de ses parents, les souvenirs affluent, ceux sur son père et donc ceux sur son enfance.
Dans ce roman, Rachida s'adresse à son père, comme s'il était encore là. Elle lui dit tout son amour et sa fierté pour l'orphelin qu'il fut à 9 ans, à la rue en Algérie les sept années suivantes avant l'arrivée en France en 1955, à 18 ans. Il ne savait ni lire, ni écrire, est devenu chauffeur-livreur et a laissé sa santé dans ce métier épuisant. Rachida lui est infiniment reconnaissante de la fierté qu'il avait pour elle, de la liberté qu'il lui a laissée pour devenir actrice, de l'ouverture d'esprit dont il a fait preuve lorsque Rachida lui a présenté son compagnon non musulman.
On sent le terrible regret de Rachida de ne pas avoir échangé plus avec son père, de ne pas avoir essayé d'en savoir plus sur son passé et de parfois avoir eu honte de lui.
Ce roman est un hommage à tous ces hommes déracinés par l'exil qui n'étaient plus chez eux nulle part. Kaddour a tenu à transmettre à ses enfants, du moins les deux aînés, Rachida et Kader, à travers la langue arabe qui était parlée à la maison, ce qui faisait son identité . Il n'a jamais voulu prendre la nationalité française bien qu'il eût pu garder la nationalité algérienne. Son plus cher désir était de retourner en Algérie, et pas seulement pendant les vacances d'été mais définitivement; ce souhait ne se réalisera qu'à sa mort. Rachida s'était engagée à le réaliser même si cela lui arrachait le coeur de voir partir son père loin d'elle.
Je suis frappée de constater que depuis le début de l'année 2024, j'ai lu trois récits autobiographiques, ayant de nombreux points communs :
* Grand Seigneur de Nina Bouraoui
* Une enfance française de Farida Khelfa
* Kaddour de Rachida Brakni
Tous trois sont écrits par des femmes, ayant un père ou des parents algériens, qui ont ressenti le besoin d'écrire à la mort du père pour Nina Bouraoui et Rachida Brakni ou de la mère pour Farida Khelfa. Toutes trois évoquent le déracinement de l'exil, le rejet par la société française mais aussi par la société algérienne, même si les conditions et les conséquences sont différentes pour chacune d'entre elles. Toutes trois sont des femmes de talent, reconnues dans leur domaine, qui savent le poids des mots et les émotions qu'ils véhiculent, qui ont su me toucher par leur histoire et celle de leurs parents.
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C'est en regardant par hasard La Grande Librairie que j'ai eu le plaisir d'écouter Rachida Brakni parler de son livre ou plutôt de son père et de la manière dont elle en parlait, comme un voyage cathartique au sein d'un tourbillon dans lequel elle a été prise. L'extrait qu'elle a lu, m'a donné envie de découvrir son livre.

Sans fioritures, avec des tournures simples, Rachida Brakni met les mots sur le film de son père, mais aussi du film familial, sans trop en rajouter ou trop enjoliver.
Son père souhaitait être enterré en Algérie, chose qu'elle n'a jamais comprise et ne s'en cache pas, mais qu'elle tente de comprendre en appelant les souvenirs, les blessures, mais aussi les joies et la fierté d'être sa fille.

Même si elle dit qu'elle parfois pu avoir honte, cela n'a jamais que de manière très fugitive, car comme lui, elle était fière de l'avoir pour père. Un père qui ne s'est jamais plié que ce soit aux diktats français qu'aux diktats algériens. Comme il le dit lui-même aux obscurantistes : « Je n'ai élevé que des garçons ». Cette phrase pourrait faire bondir certains et pourtant, elle donnera la force à Rachida Brakni de réaliser ses rêves, car elle est au regard de son père l'égale des hommes.
Elle convoque les souvenirs, pour mieux les analyser et les comprendre pour notre plus grand plaisir, malgré cette profonde tristesse qui irradie, comme un exutoire, la libération d'une émotion indéchiffrable et dont la douleur sera toujours présente.

Un bel hommage à son père, mais aussi à tous les pères immigrés venus chercher une vie meilleure, et qui par amour de leurs enfants restent, car là où ils sont, est leur vie. Une vie de sacrifice, d'amour, d'encouragements durant laquelle la réussite des enfants devient la leur.

Un récit sur des personnes simples qui traversent la vie sans faire de vague, tout en laissant une empreinte indélébile.

Le retour aux sources à cette terre nourricière l'Algérie qu'il avait quitté à 18 ans, dans la douleur, on le comprendra, mais sans vraiment que cela doit dit.

Un homme de la terre, qui ne comprend pas qu'on peut avoir des arbres de décoration et qui en fera du petit-bois de chauffe pour planter un beau figuier qui sera toujours utile.

Rachida Brakni, évoque avec émotion ces moments de grâce, tout en appelant les souvenirs à mieux comprendre.

Elle évoque tout à tour son rôle de femme, de comédienne, son couple le tout avec une grande pudeur. A l'image de ce père tant aimé auquel elle n'aura pas pu dire au revoir.

Lien : https://julitlesmots.com/202..
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En commençant ce texte, j'étais un peu perplexe. Pourquoi mes co-jurées avaient-elles fait le choix d'un récit qui ressemble tellement à celui de Nina Bouraoui lu dans une précédente sélection ? La mort d'un père algérien, la relation de ce père à sa fille, les ponts entre l'Algérie et la France, les incompréhensions, les derniers jours. Pour autant, appréciant Rachida Brakni l'actrice, je ne voulais pas avoir des a priori concernant Rachida Brakni l'autrice.

Et puis, très vite, j'ai compris que Kaddour était un homme qui ressemblait plus à ceux que je connais que le Grand seigneur de Nina Bouraoui. L'identification s'est imposée à moi. Et ce sont les mots des transfuges de classe que j'ai lu. Rachida Brakni, qui vient d'un milieu populaire, fille d'un père qui ne lit pas le français, fille qui rêve d'une bibliothèque si haute qu'elle aurait besoin d'une échelle pour atteindre le sommet, jeune actrice à la Comédie Française jouant Ruy Blas, son père ne voyant qu'un plagiat de la folie des grandeurs. J'ai eu beau lutter, j'ai été touchée par cette histoire simple, qui est celle de beaucoup. le décalage avec ses enfants qui à 10 ans ont plus voyagé qu'elle au même âge, ont plus les codes du monde culturel, d'une élite. L'envie de leur dire que si elle n'a pas eu les mêmes avantages, il y avait de l'amour et de la joie. Malgré le travail harassant qui détruit les corps, malgré la gêne et la honte.

Et puis j'ai été touchée par le style, sans esbroufes, simple sans être simpliste. Quelques jours d'août pour résumer une vie, une relation filiale. La construction est-elle aussi très simple, mais pour souligner le lien avec un autre texte qui traite de l'Algérie, celui de Farida Khelfa, il permet de comprendre véritablement le parcours. le mieux est l'ennemi du bien, en littérature comme ailleurs.
C'est la magie de ce prix. Alors que je ne m'attendais pas à être transportée par ce dernier récit, ronchonnant de sa proximité avec d'autres, il a été une jolie surprise, me voyant corriger ma note jusqu'aux dernières pages. Les quelques mentions de l'émir Abdelkader glissées dans le texte me rendent curieuse. de quoi serait fait un roman sur l'Algérie par Rachida Brakni ? Quid de la légende de ses ancêtres envoyés à Nouméa et des Brakni qui y vivraient encore ? Je trouve que là encore la grande simplicité de la construction et de son style pourrait faire mouche. Bref un premier récit qui nous encourage à découvrir la suite. Car je ne doute pas qu'il y en aura une.
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critiques presse (3)
LaLibreBelgique
29 avril 2024
Rachida Brakni a eu un père habité par de belles valeurs. En se souvenant de lui, elle fait oeuvre de mémoire : celle d'une famille immigrée algérienne.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Culturebox
08 avril 2024
L'actrice Rachida Brakni publie son premier livre, "Kaddour", qui est un hommage à son père, un Algérien venu en France à 18 ans.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Bibliobs
13 mars 2024
Kaddour était un père aimant, digne et réservé, que la réussite de Rachida Brakni embarrassait un peu. La seule manière qu’il avait trouvée de lui exprimer sa fierté était de lui murmurer : « Tu as mis du rouge sur mon visage, ma fille. » Avec ce livre, son premier, la Reine de « Ruy Blas » retourne le compliment à son père déraciné et illettré, pour qui l’honneur ne se marchandait pas.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Durant quarante-cinq jours, vous êtes roi et reine d’un royaume éphémère. On vient de toutes parts pour vous saluer, vous célébrer. Vous êtes l’incarnation de la réussite. Le conte de fées est trop beau, pourquoi en briser la magie ? Pourquoi révéler la face sombre de votre condition d’immigrés ? A quoi bon remuer la fange pour faire remonter à la surface, la pénibilité, les brimades, les humiliations ? La blessure est une tache indélébile invisible à l’œil nu, l’honneur est sauf et le trompe-l’œil parfait.
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Pourtant tu persistais à ne te parfumer que le dimanche pour ne pas gâcher, me disais-tu, mais aussi par habitude, non ? Après une semaine de labeur, le parfum était ta récompense ; un onguent pour apaiser l’effort enduré. Ce faisant, tu marquais une rupture et une mise à distance de ta condition d’ouvrier.
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Je ne sais pas de quelle fille vous parlez, je n'ai que des garçons.
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L’exil, jusque dans la mort sépare et déchire les familles.
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Chez nous, la pudeur est un langage. Une attitude, un rapport à l'autre pour préserver sa liberté et pour ne pas brusquer l'intime. Une grammaire qui nous est propre. Une science que je peux déchiffrer dans la gamme chromatique de tes yeux verts ; dans la rigidité ou la souplesse de ton corps ; dans les moindres inflexions de ta voix - le rythme, le ton, l'hésitation, le silence, le souffle même. Rien ne m'est étranger.
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