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sur 40 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Cross the Ages, l'ovni livresque des éditions Bragelonne qui fait mouche !

Arnaud Dollen et les cinq autres auteurs qui l'accompagnent nous immergent dans un monde où Science-Fiction et Fantasy cohabitent avec brio, deux genres aux codes strictes qui pourtant s'épousent à merveille. Deux genres qui accueillent le lecteur dès la couverture, un magnifique travail d'illustration de Johann Papayou Blais.

Je ne suis pas férue de SF, tout du moins j'ai toujours eu quelques difficultés à me fondre au coeur des univers créés par les auteurs du genre, et pourtant, tout ou presque m'a semblé fluide dans Cross the Ages.

Le monde, l'Artellium, est divisé en trois civilisations : les Mantris (côté SF), les Arkhantes (côté fantasy) et les Riftiens (un mix des deux ?). Chaque partie se trouve au coeur d'une guerre froide que la moindre étincelle peut transformer en incendie ravageur. Pour entretenir un semblant de "justice" et apaiser les esprits en quête de vengeance, des jeux sont annuellement organisés : un combat, l'aballition, où l'alliance des deux principales civilisations menera paradoxalement à la perte de l'une ou de l'autre partie (les Riftiens étant historiquement interdits de jeu). Ce combat fera éclore un personnage clé qui changera la destiné de l'Artellium, sclérosé par des complots et affaibli par une nature en perte de vitesse qui menace la magie des Arkhantes et les ressources des Mantris.

J'avoue avoir une préférence pour la civilisation Arkhante, pour sa culture et sa magie même si les Mantris, ce peuple ultra-connecté et extrêmement doué en terme de robotique, n'est pas en reste. J'apprécie l'organisation royale des Arkhantes et leur magie, ces sept puissances qui leur donnent un avantage certain depuis des siècles : l'arkhome (ou magie) de l'Air, de la Terre, du Feu, de l'Eau, de l'Ombre et de la Lumière. Chacune de ces puissances est décrite de façon subtile par les auteurs : dès que l'un des Primus (les maîtres des mages) apparaît au coeur de l'histoire, le vocabulaire revêt les apparats qui les concerne (par exemple pour l'Eau, les adjectifs et verbes sont choisis en conséquence), rendant le lecteur complice des émotions et ressentis des personnages.

J'ai vraiment été sensible à la choralité du récit qui propose ainsi différents points de vue et à l'ensemble de ses plumes qui se sont unis pour donner une écriture de qualité qui use sans vraiment abuser de métaphores et comparaisons (procédés stylistiques qui sème la graine de l'imaginaire en nous). Ce premier tome (sur sept) comporte pas mal de descriptions, certains pourront accuser quelques longueurs, mais c'est idéal pour poser les bases des futurs tomes (un par an, l'attente va être longue). C'est un roman qui, au-delà de nous raconter une histoire fictive et post-apocalyptique, met également l'humain au pied du mur de ses capacités : quelles sont les limites à la création ? quelles sont les limites du "toujours plus" pour rendre l'Homme plus fort ? jusqu'où la liberté d'entreprendre peut-elle aller sans empiéter sur les libertés d'autrui ?

Les personnages sont nombreux, les principaux reviennent régulièrement tandis que d'autres apparaissent et disparaissent aussitôt, non sans laisser une trace importante dans le déroulé du récit. Une richesse "protagonistique" qui donne de la matière au roman, même si cela a pu me perdre par moment (surtout au début). Si je ne devais retenir qu'un personnage, je dirais que j'ai été sensible à Solis, cette reine si humaine qui évolue au sein d'un environnement où justement l'humain à chuter de plusieurs mètres dans la chaîne des valeurs. Sa puissance et son esprit font mouche. J'ai également un petit crush pour l'Ordonnateur, un personnage énigmatique qui promet pas mal de rebondissements (je trouve d'ailleurs qu'il est un peu le reflet masculin de Solis). En revanche, malgré sa position, Aurèle m'a un peu agacé... (comprendront qui liront :D )

En somme, à la lecture des premières pages, je n'imaginais pas que "Cross the Ages" serait un coup de foudre, la première phrase un brin alambiquée m'ayant fait penser que le roman risquait d'être complexe. Mais plus j'avançais dans ma lecture, plus je me fondais dans l'environnement et m'attachais aux personnages. Un véritable film qui s'est imprimé dans ma rétine et qui offrera je l'espère une belle saga littéraire (d'ailleurs, je me suis penchée sur le jeu de cartes Cross the Ages histoire que l'attente du prochain tome soit moins rude :p).
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Dans le monde d'Artellium, est venu le temps de l'Aballition, un sport d'équipe, notamment celui de la compétition la plus célèbre donnée dans l'Appologium. Deux mondes vont s'affronter : d'un côté Arkhante, le territoire des 7 magies, représenté par la jeune Malkah Solis ; de l'autre Mantris, la cité-lumière où règne la technologie : IA et humains augmentés s'y font la part belle. L'arène mythique de l'Appologium va connaître un gagnant inattendu, issu du troisième univers, le Rift, cicatrice béante entre les deux autres, peuplé de créatures vibradiées et où la magie et la technologie s'affaiblissent. C'est Aurèle qui va vaincre et rappeler aux deux autres mondes leurs manques : déclin du pranah pour Arkhante, dépendance au trisel pour Mantris. Il ne reste maintenant plus à Aurèle qu'à approcher Solis et infiltrer Arkhante.

J'ai pu découvrir « La rune & le code » grâce à une opération spéciale de Masse Critique.
C'est d'abord le packaging soigné qui m'a attirée : un papier cadeau emballant le livre, une carte cartonnée de remerciement siglée « Cross the Ages » et autocollant. Une fois tout cela déballé, apparaît l'ouvrage, de belle facture : couverture colorée, présentant 3 protagonistes. Elle peut se détacher et révèle en son envers une planète, fissurée en son centre, le Rift, certainement. La couverture solidaire du livre est sobre : Cross the Ages y est inscrit en couleur dorée sur fond noir. de nouveaux dessins apparaissent suite à cette couverture et avant la quatrième de couverture, un univers de jour (le monde magique d'Arkhante ?), un autre de nuit criblé d'éclairs (le monde technologique de Mantris ?) Chaque tranche est colorée de jaune, avec quelques lettres accolées en noir mais dont le sens ne saute pas aux yeux. Quand on sort le livre de son emballage, on dirait un objet, un coffre qu'on pourrait ouvrir : mais non, il s'agit bien d'un livre.

Et une fois ouvert et lu, qu'en est-il donc du contenu ? L'intrigue, bien construite, mêle des éléments de fantasy à d'autres tenant à la science-fiction, la magie côtoyant la technologie, les pouvoirs de l'un se heurtant à ceux de l'autre, le Rift — la balafre entre les deux mondes — mettant à mal ces pouvoirs. Les protagonistes sont bien campés dans leur personnalité, leurs pouvoirs, ambitions, doutes et failles. Au départ assez manichéenne, la psychologie des personnages évolue vers plus de complexité et de profondeur. Des complots s'ourdissent sur fond de stratégies politiques, géopolitiques, de connexions malveillantes où Internet est devenu Noria. On peut parfois se perdre dans la galerie des personnages de cette oeuvre chorale mais un glossaire en toute fin nous aide à nous retrouver.

Les descriptions rendent réalistes les mondes imaginaires dépeints (je garde en tête Plénition, la ville où l'eau règne), les environnements sont rendus dans leur poésie brute, sauvage, belle ou interlope. le rythme est bien pensé, alternant scènes d'actions (une mention spéciale pour les combats qui nous font frissonner, plein d'un suspens redoutable) et temps introspectifs dans lesquels les protagonistes s'interrogent, doutent, espèrent. L'utilisation du temps présent ancre d'autant plus l'intrigue dans une réalité en train de s'opérer et permet d'attiser notre intérêt.

L'ensemble est porté par un style soigné, pourléché, voire poétique. D'emblée il se veut très ambitieux, parfois trop : il est difficile en effet de tenir un tel degré d'exigence constamment et parfois l'intérêt s'émousse ; juste un peu. Car ce premier tome (l'auteur en promet d'autres dans ses remerciements) est une très belle réussite : dans « La rune & et le code », l'auteur a posé les bases d'un univers riche et foisonnant, rehaussé d'une écriture ciselée, qui ne demande qu'à être développé…

Je tiens à remercier Babelio et les éditions Bragelonne pour ce très beau voyage dans l'univers de Cross the Ages.
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J'ai eu la chance d'être choisie par Babelio pour découvrir ce premier tome et je les remercie eux, ainsi que Bragelonne pour l'envoi. Je vais être honnête, je ne connais absolument pas le jeu vidéo dont découle ce tome et ce n'est peut-être pas plus mal. Dans mon cas, je n'en attendais peut-être pas autant que les vrais joueurs, donc c'est un bon point pour ma part. Une couverture rigide, de belles couleurs et j'ai adoré l'intérieur : papier épais, un peu jauni, quelques illustrations aussi. Une histoire où se mêle la fantasy, la science-fiction, des termes de jeux bien entendu, de l'intelligence artificielle, du cyberpunk, des prophéties, de la magie, des combats... Magie ou technologie ? le monde dans lequel j'ai plongé est à la fois terrifiant et magique. Terrifiant avec ce que l'Homme est capable de faire pour rester en vie bien plus longtemps, magique dans le sens où l'évolution a pris son envol. Mais tout cela à quel prix ?

Qui n'a jamais rêvé d'être aux commandes d'un péplum ? C'est encore plus que cela. du départ nous entrons dans ce qui pourrait s'apparenter à une arène nommée l'APPOLOGIUM, afin de suivre les jeux de la mort. Un seul survivant en sortira debout, un seul qui apportera la victoire à son peuple : Mantris ou Arkhante ? Deux peuples qui ont lutté depuis de nombreuses années et on trouvé une "Solution" à des guerres incessantes. Depuis, les jeux existent afin de faire revivre un spectacle vieux de dizaines d'années. L'équilibre est bien fragile, mais le sang des deux camps semblent apaiser quelque peu les tribunes. Chaque guerrier n'a qu'une idée en tête : être le gagnant, mais le prix à payer est énorme. Les conditions sont très bien expliquées et je ne vais pas m'attarder dessus, toujours est-il que Aurèle va tous les tromper de part sa condition et le fait qu'il sera le survivant. Pas de surprise, dès le début nous le savons. Son passé se dévoile, sa fureur, sa vengeance, son envie de reprendre les rênes de sa vie sont compréhensibles. La question de savoir si tout ce qu'il va découvrir et vivre va l'amener là où il le voulait avant de mettre un pied dans l'appologium. La décision finale n'est pas encore à notre portée et les signes sont changeants. Un homme torturé par ce qu'il a vécu, par les horreurs qu'il a dû subir et la paix qu'il désire tant sera au prix de sang écoulé... J'ai hâte de savoir la suite prévue à cet effet.

L'APPOLOGIUM, un lieu où se côtoient toutes les castes. de la nouvelle reine nommée au peuple, il n'y a as grand-chose qui les sépare si ce n'est des gardes et "ami" qui la protègent. Je découvre le monde au fil des pages et j'ai adoré en savoir plus sur les différentes magie de l'air, de la lumière, de l'eau, etc, de la façon dont chacun doit garder sa place (même si nous savons très bien dans ce type de récit que cela ne dure pas longtemps) et puis les personnages. Ah sans les connaitre on devine déjà des imperceptibles trahisons, mais certains sont vraiment plus identifiables que d'autres. La Malkah, autrement dit la "reine" des Arkhantes, Solis est une jeune femme qui a encore beaucoup de choses à apprendre. Elle compte sur son "grand frère" Hannibal, un lien sacré entre eux qui dure depuis si longtemps. Solis n'est pas toujours maitresse de ses émotions, émotive, elle ressent tout et semble avoir quelque chose de différent de son père : de l'empathie peut-être ? Une jeune femme qui doit composer avec des mages, des hommes et femmes qui ne cachent pas qu'elle ne leur inspire pas confiance et sa naïveté touchante semble être un loupé. Surtout lorsqu'elle doit se confronter à l'Ordonnateur de Mantris. Entre les deux, ce n'est pas 'amour fou et chacun joue ses pions comme il le peut. Des combats de mots, de prise de pouvoir sur l'autre, aucun ne veut montrer sa faiblesse, pourtant il n'y a pas forcément le choix de pouvoir faire un pas en retrait pour mieux attaquer par la suite. C'est ce côté qui me semble encore dans l'ombre. Qui est vraiment "bon" qui ne l'est pas ? Certains faits parlent d'eux-mêmes sur des personnages sans que nous ne comprenions au départ le pourquoi et la lumière se fait ensuite.

Le Rift, lieu de perdition, là où personne ne veut vivre, mais que certains n'ont pas eu le choix. de lourds secrets y sont bien camouflés et l'aventure qui en découle sera à la fois sanglante et destructrice. Rien de bon ne risque d'en ressortir, à voir par la suite. Les lieux sont à la fois concrets et d'autres qui sont ouvert par le biais de la technologie. Des failles "spaciales" qui permettent aux personnages de "naviguer" sans vraiment se faire reconnaitre, la plupart du temps. Nous suivons donc quelques personnages, tel Aurèle, Solis, mais également d'autres, comme l'Ordonnateur, Isalys, Sassaki; Hannibal, Kora, et bien d'autres qui nous apportent autant de réponses que de questions. Un premier tome qui nous ouvre les portes d'un monde où se mêlent de nombreux thèmes que j'adore et pas besoin de connaitre le jeu pour être totalement immergée jusqu'au cou. La preuve, il m'a fallu deux jours pour le lire, c'est pour dire combien je me suis sentie parfaitement à l'aise avec ce qui est écrit noir sur blanc (ou presque blanc). La guerre a couté énormément, aussi bien en personnages qu'en matériel et les deux "peuples" les dirigeants ont trouvé des solutions, mais sont-elles durables ? Nous voyons déjà des évolutions au sein même de chacun d'entre eux. La fin du monde semblait proche, mais est-ce qu'elle n'est pas encore à l'ordre du jour ?

Les personnages ne sont plus totalement humains pour la majeure partie. Entre la génétique (et bonjour les médecins fous et leurs expériences), les améliorations cybernétiques, le monde est devenu différent au fil des années et il continue à crée des nouveautés qui font peur. qui a envie de se retrouver avec un gps placé sous le bras ? Ce n'est rien en comparaison de ce qui peut se faire, la cryogénie n'est qu'un semblant également car ils ont trouvés mieux ! le post apocalyptique est très bien mis en place, la fantasy avec certaines créatures apporte un plus dans certaines scènes (saleté de vers géants tiens), la science-fiction avec le côté augmenté de l'humain par le cyberpunk est bien mis en avant et il ne faut pas oublier la magie liée à tous les éléments possible. Il y a de quoi faire sans alourdir le texte et sans se perdre totalement. Seul petit bémol de départ, le vocabulaire qui est particulier : pas mal de mots sont inventés, il faut un petit temps d'adaptation pour en comprendre les sens. Une fois que c'est bien intégré cela roule, ou vole selon où on se situe. Les personnages donc on des vies toutes différentes, de part leur statut, mais aussi là où ils vivent. Pour le moment, nous avons trois peuples, mais peut-être que d'autres qui ne sont pas nommés vivent aussi sur cette planète. Un unique continent ? Je n'en sais pour le moment rien, seule la suite nous le confirmera. Les combats sont difficiles et il ne faut pas les transposer dans notre réalité, car cela est dans le domaine de l'impossible. Entre les pouvoirs, les dons, les augmentations et autres cas génétiques, ils sont plus fort que les avengers réunis, mais dans ce monde de fourbe, il faut bien cela.

Les manigances sont nombreuses, les trahisons aussi. Je n'aurais jamais imaginé cela de l'un d'entre eux et j'en suis restée baba. Si ce personnage imagine faire du bien en trahissant ainsi, je ne sais plus comment réfléchir dans ce cas. le pouvoir monte à la tête de certains et l'Ordonnateur n'est qu'un homme qui ne craint plus rien au final. Qui est cet homme ? Ah, nous en apprenons beaucoup sur lui et le mystère est encore bien présent. J'ai adoré le suivre et chercher à comprendre ce qui se passe dans son esprit. La famille est importante pour lui et plus encore, mais il fat le lire pour le découvrir. Les divers échanges entre lui et d'autres personnages ou même sans lui nous montrent que le système a progressé et en même temps tout le monde est surveillé. Par qui ? Pourquoi ? Il nous reste encore des éléments de ce puzzle géant à récupérer. Un lexique à la fin du livre qui est super intéressant (si j'avais su, je l'aurai lu avant la lecture, mdr)

En conclusion, un univers déjà riche dans ce premier tome qui donne clairement envie d'en savoir plus. Pour ma part, je en connais rien aux jeux vidéos ni même aux jeux avec des cartes (une de mes amies connait bien ce système, pas eu le temps de lui poser la question) et j'espère juste que les deux peuvent se refléter. Autrement, c'est une très belle découverte,d'un monde où se mêlent avec brio de nombreux thèmes. Des personnages qui ne sont pas des monstres, mais des êtres doués de sensibilités. Les émotions sont bien présentes, les combats terribles. Savoir survivre signifie qu'il faut savoir tuer, ce qui n'est pas donné à tout le monde, mais au final, savoir donner l'ordre de tuer est également un entrainement. Bien que ce premier tome soit basé sur Solis, Aurèle et l'Ordonnateur, nous avons un grand aperçu de ce qui les entoure et la lumière a beau être présente, l'ombre arrive toujours à avoir du terrain. le vocabulaire crée va vie à s'apprendre et les situations nous aident beaucoup à comprendre le tout. Rien de compliqué la plupart tourne autour des ordinateurs en quelque sorte. Les combats sont impressionnants, usant de magie, de dons et autres éléments qu'il faudra découvrir plus en détail.

http://chroniqueslivresques.eklablog.com/cross-the-ages-tome-1-la-rune-le-code-arnaud-dollen-a215838373
Lien : http://chroniqueslivresques...
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Quel bonheur de découvrir un nouvel univers et d'être au début d'une saga de 7 tomes. On y croit totalement. Les personnages sont bien travaillés et l'environnement également. Ca donne envie de découvrir le jeu. le côté multi-dimensionnel d'un collectif d'auteurs écrivant ensemble fonctionne de manière harmonieuse et semble apporter une réelle richesse au niveau profondeur des descriptions de l'univers.
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Ce premier tome de la saga Cross the Ages était un moyen de commencer à comprendre cet univers. C'est un monde complexe et j'ai déjà hate de lire les volumes suivants pour découvrir plus en détail les enjeux qui régissent les politiques de Mantris et Arkhante
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