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Tenjin tome 1 sur 14
EAN : 9782505069225
200 pages
Kana (16/06/2017)
3.57/5   50 notes
Résumé :
Riku Sakagami est fils et petit-fils de pilotes militaires. Il rêve, lui aussi, de manœuvrer un avion de chasse !

Alors qu’il était à l’école primaire, son père est impliqué dans un accident grave qui a provoqué la mort d’un pilote en formation et de trois civils. S’il renonce à sa carrière de pilote, Riku, lui, n’en démord pas et reste persuadé de l’innocence de son père.

A l’école de formation, dès le premier vol, Riku fait la preuve ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Série découverte aux 48h BD 2018* ! Elle est pleine de bonne volonté mais sent quand même le réchauffé, du coup je ne sais pas trop comment me positionner même si je n'ai pas envie de la saquer...
Nous sommes dans l'adaptation du roman de Yoichi Komori réalisée par Muneaki Taoka et Tasuku Sugie, donc nous suivons le destin de Riku Sakagami qui veut devenir pilote de chasse pour rencontrer Tenjin le dieu du ciel, comme son grand-père et comme son père qui a démissionné de son poste après un tragique accident... (évidemment tout est édulcoré, car tout est fait pour éviter les questions qui fâchent pour un pays qui officiellement n'a plus le droit d'avoir une armée)
C'est plutôt assez bien fait sur le fond comme sur la forme dans le genre « school life », mais...
1) J'ai déjà vu tout ça un millier de fois... Les personnages aussi sympathiques soient-ils sont tous des stéréotypes que j'ai déjà vu dans "Haikyu!!", "Naruto" voire "Captain Tsubasa"... Ben oui l'opposition entre le surdoué qui marche à l'intellect et le génie qui marche à l'instinct c'était déjà l'histoire de la rivalité entre "Olive et Tom" en 1981 !!! (et puis la compétitivité mortifère du système éducatif japonais me sort par les trous de nez, donc cela n'aide pas non plus...)
2) le style graphique est plutôt soigné même si encore une fois déjà vu par ailleurs pas mal de fois, toutefois on nous raconte les heurs et malheurs d'étudiants entre 20 et 25 ans donc pourquoi même au sein d'un shonen céder au jeunisme avec un charadesign qui donne l'impression qu'ils ont tous entre 12 et 16 ans (y compris celui qui est marié et père de famille) ?
3) J'aurais pu me prêter au jeu (même si la gestion de l'écoulement du temps est assez mal gérée), mais le cliffhanger de fin m'a bien fait soupirer : le beau-gosse surdoué rival de notre héros ado est rétrogradé dans la compagnie de son rival sous-estimé donc sous-classé au prétexte qu'il ne peut plus suivre les cours d'élite destinée à l'élite après un mois passé à l'hôpital... Cela sent trop la grosse ficelle : on parle d'un surdoué major de promo depuis des années et des années qui a toujours plusieurs temps d'avance sur la concurrence, donc même avec plusieurs semaines blanches il reste largement au-dessus de tout le monde donc cela n'a aucun sens à part servir de grosse ficelle !
4) Argh qu'est-ce qu'il est désormais insupportable le sexisme habituel des shonens bas du front ! le seul personnage féminin n'a pas le droit de devenir pilote d'avion de chasse parce que c'est comme ça que cela fonctionne pour les femmes femelles, donc elle devient pilote d'avion de secours pour venir en aide à ses collègues masculins appelés à de plus hauts destins... Soupirs bordel de merde, car même dans les années 1980 on pouvait gérer les personnages féminins mieux que cela avec un peu plus d'humanité et d'imagination !!!


* Sélection entièrement jeunesse plus faiblarde et plus chère que les éditions précédentes (et je ne parle même pas de cette connerie d'avoir proposé des tomes x incompréhensible sans avoir lu les précédents) : je ne félicite pas ses organiseurs !!!
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De base, je ne suis pas très intéressé par tout ce qui a un rapport avec l'armée, et encore moins quand il s'agit d'aviation. Je crois que ma seule référence dans le domaine c'est Top Gun, et je n'en garde pas un très bon souvenir xD

Mais l'avantage des manga, en tout cas chez moi, c'est de me faire aimer des univers qui ne m'intéressent absolument pas en temps normal. le volley pour Haikyu, la boxe pour RikuDo ou encore le sumo pour Hinomaru Sumo. Trois manga que j'adore, et dont les disciplines me laissent de marbre. J'ai donc testé Tenjin, et j'ai juste surkiffé ce titre ! Dès le départ, tous les ingrédients sont réunis pour qu'on se passionne pour notre héros et ses camarades, et ce même si comme moi, vous vous fichez royalement de l'aviation.

On suit Riku, un personnage attachant et dynamique comme c'est souvent le cas dans les shonen qui souhaite rentrer dans les Force Aeriennes d'Autodéfense du Japon, comme son père, et son grand-père avant lui. On sent qu'il a ça dans le sang, et même s'il n'est pas très doué pour les études (il doit travailler deux fois plus que les autres pour arriver à un résultat juste convenable) dès qu'il pilote, il balaie quasiment toute la concurrence.

Il semble avoir un sens inné pour le pilotage, comme si chez lui, c'était instinctif. Cela va le conduire très rapidement à faire la connaissance de son premier rival, Hayaori Takaoka, l'enfant prodige, le meilleur de tous les cadets de l'académie. Ce dernier est un personnage qui semble assez complexe, car tout le monde le décrit comme arrogant, mais lors de ses quelques entrevues avec Riku, il est au contraire plutôt sympathique, même s'il reste distant. D'ailleurs, dès la fin du premier tome, on sent que les choses risquent de rapidement bouger et que l'on n'est pas au bout des rebondissements.

Car dans Tenjin, nous ne sommes pas dans un manga scolaire. J'entends par-là que les protagonistes sont quand même adultes, certains sont jeunes comme Riku, mais d'autres qui ont suivi un cursus différent, sont plus agés. Je trouve que cela donne une certain ton au manga, qui sur ce point se démarque de la concurrence.

Dans les tomes 2 et 3, les choses avancent très rapidement. Il y a des accidents pour certains personnages (dont je ne dévoilerais pas les noms) qui vont les conduire à tout reprendre du début. Mais comme je le disais, le ton de ce titre est sérieux, et les personnages le sont aussi. On n'est donc pas surpris que dès le troisième tome, certains aient obtenus leurs ailes et envisagent de piloter un F-15 !

Parlons un peu du graphisme, qui est à couper le souffle. Les phases de vol sont excellentes, intenses, et l'on comprend bien le concept de vouloir voler toujours plus haut, jusqu'à rencontrer Tenjin, le dieux du ciel. J'étais déjà convaincu à la lecture du premier tome, mais croyez-moi, ce n'était rien à coté des tomes 2 et 3 ! Est-ce que je vais prendre rapidement les tomes suivants ? Oui, c'est obligé ! Et bien entendu, je vous en reparlerais car il faut lire Tenjin *-*
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Tenjin – le dieu du ciel est un manga en cours au Japon avec actuellement neuf tomes de parus depuis 2013 dans deux magazines reconnus : Jump Live et Shônen Jump +. Sous le titre se cache trois personnes : Yoichi Komori (Umizaru inédit en VF) pour l'oeuvre originale et le scénario, Muneaki Taoka pour le story-board, et Tasuku Sugie pour le dessin. À noter que ce dernier travaille ici sur sa première oeuvre.

Les premières pages du tome sont une bonne entrée en matière puisque l'on assiste au crash d'un avion de chasse en plein coeur de la ville de Hamamatsu ayant causé la mort du pilote, mais aussi de civils. Désavoué par sa hiérarchie et se tenant pour responsable, le lieutenant-capitaine Sakagami démissionne et refuse d'expliquer les détails de cette tragédie qui a vu l'élève pilote qu'il avait pris sous son aile périr. Quatorze ans plus tard, on découvre le fils de Sakagami, Riku, qui depuis son enfance nourrie le rêve de devenir lui aussi pilote. Admirant son père depuis toujours, et nourrissant l'envie de rencontrer le dieu du ciel Tenjin, Riku a entrepris une formation de pilote pour intégrer la flotte aéronavale du Japon.

Dans ce premier tome on découvre l'univers de l'aviation qui est très obscur pour moi, tant je n'ai jamais eu l'idée ni même l'envie d'en savoir plus. Et de mémoire il est rare de voir ce thème dans les mangas. de plus, le récit intègre des éléments récurents dans les shonen comme l'initiation d'un héros à travers un nombre de challenges personnels et extérieurs, le dépassement de soie, l'apprentissage, mais aussi des valeurs universelles comme le partage, l'amitié et la modestie.

Pour ceux qui se demandent s'il faut avoir une connaissance minime sur l'aviation, sachez qu'il n'en ait rien. le scénariste et les éditeurs ont veillé à intégrer des éléments de repères afin de nous aider à comprendre et apprendre de façon ludique la formation de pilote. J'ai grandement apprécié cet ajout qui non seulement m'a aidé à me repérer mais aussi à réaliser certaines choses. Par exemple, saviez-vous qu'une femme ne peut devenir pilote de chasse ? Cela peut paraître anodin et « logique » pour certains, mais j'ai réalisé que je ne m'en étais jamais rendu compte.

Le premier tome se veut introductif en présentant les lieux à savoir l'école de recrue où les futurs pilotes se forment mais aussi les personnages. Concernant ces derniers, le tome un les présente tous au fur et à mesure des pages. Dans l'école on distingue plusieurs groupes : Alpha, Bravo, Charlie, Delta, Echo et Fox. Ici, c'est avant tout le groupe des Charlie que nous découvrons. Il se compose des membres suivants : Noukôjirô Murata ami de Takayuki Sasaki, lieutenant diplômé de l'université qui a le sentiment d'avoir été relégué dans un sous-groupe en ayant intégré Charlie. le réfléchi et amicale Ichirô Hasebe le leader du groupe, marié et père d'une petite fille. Nao Ooyasu, la seule fille, avec un sacré caractère qui n'aime pas se laisser marcher sur les pieds, et amie de notre héros Riku. Comme dans tout groupe ne se connaissant pas encore et où les personnalités sont différentes, la tension est très vite présente et créé quelques conflits. Notamment entre Sasaki et Riku. Ne cessant de parler du « dieu Tenjin », Riku s'attire les moqueries de certains de ses camarades jusqu'à sa rencontre avec Hayari Takaoka. Lui, c'est le prodige de l'équipe Bravo. Admiré par de nombreuses recrues comme Sasaki, Takaoka apparaît comme un jeune homme assez solitaire, calme, et sérieux qui s'applique depuis des années pour exercer ce métier.

Dans ce récit on remarque assez vite que chaque élève souhaite devenir pilote pour différentes raisons. La motivation première de Raiku est sa rencontre avec Tenjin, alors que Takaoka, lui, veut avant tout pouvoir protéger sa famille et le peuple. du coup, entre admiration, jalousie et incompréhension une certaine rivalité va s'installer provocant des étincelles qui vont devenir explosive durant le tome deux. Néanmoins, si le classicisme du rival versus héros est présent, on y voit plus les deux comme des challengers qui vont se coacher parfois sans le vouloir.

Si après la lecture du tome 1 je ne savais pas quoi penser du récit, malgré ses qualités, le tome deux a su réellement me plonger dans l'histoire. À la toute fin du tome précédent, on faisait la rencontre de Suzu Seragaki, journaliste qui enquête sur le crash de Hamamatsu. Et pour en apprendre d'avantages elle va entrer en contact avec Riku et d'autres recrues. C'est donc avec le tome 2 que l'histoire développe ses qualités. Il y a pas mal de scènes de vol qui joue sur le charme de cet univers inédit, mais aussi des moments où l'on se demande si les héros vont en ressortir indemne. Les questions laissées en ouvertes précédemment viennent trouver une grande partie de leurs réponses dans ce deuxième tome, tout en ouvrant d'autres possibilités narratives aux personnages. Les liens de camaraderie ainsi que les conflits prennent de l'ampleur jusqu'à former une sorte de tension qui injecte de l'incertitude vis-à-vis du futur de chacun. Il est appréciable de lire que pour son manga Komori à collaborer avec le bureau du personnel aérien des forces d'autodéfense et la section des relations publiques. Ainsi, le mangaka nourrit son récit en reprenant des faits et règles du métier réel et cela se sent. On distingue aussi une nette évolution dans la psychologie des personnages, mais aussi la présence de failles dans ceux qui semblaient être les plus avisés.

Dans sa globalité, la partie graphique de Tasuku Sugie est sublime et donne une sensation de vitesse mais aussi de légèreté au scénario, tout en jouant sur la magie et l'immensité des paysages. Les détails sur les combinaisons et les avions sont saisissants. Par contre, le seul petit bémol que j'ai eu fut avec le charadesign des personnages quand ils sont à terre en « simple élèves ». Sur ces moments-là, j'ai trouvé que les visages notamment ceux de Riku et Sagaki sont un peu trop ovales et étirés à mon goût. Mais ce dernier point relève du personnel, et ne gâche en rien la lecture.

En conclusion, si le premier tome m'avait laissait mi-figue mi-raisin, le tome deux a su me monter à quel point le scénario de Yoichi Komori était intelligent, réfléchi depuis le début et prometteur. Avec Tenjin le métier de l'aviation révèle ses secrets aussi bien aux amateurs de vol dans les airs que pour les débutants. Ce shonen reprend les codes du genre tout en y intégrant de la fraîcheur et une philosophie de vie. Nul doute que la suite des aventures de ce groupe de héros à en devenir sera aussi vertigineuse que palpitante.
Lien : https://lireenbulles.wordpre..
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"Tenjin, le dieu du ciel" est le nouveau Shonen arrivé aux éditions Kana (paru le 16/06/2017).
L''univers aéronautique exploité est pour une fois bien différent des autres shonen mais se prête particulièrement bien à ce type de manga.

Et cette série est signée par Sugie Tsubasa et Taoka Muneaki. Elle est leur première oeuvre
Cela nous promet beaucoup de haut-le-coeur et de vertige !
De quoi planer et rêver tout comme le héros Riku.

Le dessin :

Bien que cela soit une première oeuvre, le dessin n'a rien à envier aux autres mangaka !
Le trait fin et délicat permet de donner de beau détails, notamment sur les scènes d'actions en vol, avec la superbe représentation des avions T4 et/ou T7 japonais, ou les tenues des pilotes.
Le dynamisme et le mouvement est superbement bien suggéré avec les effets adéquat et efficaces.
Les trames sont nombreuses et variées, suivant ainsi la rythmique intensive imposée par le domaine aérien, mais au final on y prête que peu d'attention, ce qui veut donc dire que le travail est très bien fait.
Chaque personnage possède sa personnalité. Certains sont détestables, d'autres trompeurs par leur coté angélique, d'autres bien fêtard etc...
Et notre héros qui, au prime abord, parait presque quelconque, et aux traits communs à de nombreux autres personnages de manga, mais pour qui nous nous prenons d'affection trait rapidement !
Les auteurs ont bien compris le truc pour jouer sur nos émotions en représentant un jeune homme singulier rêveur, ayant connu un drame familial, et avec des difficultés scolaires: le tour est joué.
Les mises en scènes sont originales et bien orchestrées à l'image d'un ballet aérien.
Je regrette toutefois que les scènes aériennes ne soient pas plus nombreuses dans ce tome.

Le scénario :

Komori Yôichi & Taoka Muneaki ont eu une excellente idée de ce s'attaquer à ce milieu militaire aéronautique pas souvent abordé.
En effet tous les éléments requis pour un bon Shonen sont présents : une école, des rivalités, un but commun à tous les personnages, etc...
L'originalité vient du fait du travail de recherche et d'actualité.
A travers ce manga nous découvrons peu à peu comment est organisé le JASDF et quelles épreuves doivent affronter les jeunes aspirants aux postes de pilote de chasse.
On y apprend par exemple qu'il y a trois filières possibles pour rentrer dans cette école, ou bien que les femmes au japon ne peuvent pas encore postuler à des postes de pilotes de combat et ne peuvent donc que s'orienter sur des filières transports ou secours.
(Nota cela était vrai jusqu'à fin 2015 ou le japon a finalement ouvert les postes de pilote de combat aux femmes )
Le découpage est intense, vif et particulièrement saccadé mais organisé et synchronisé avec la rigueur d'une patrouille faisant son show. Quelques pleines pages sont bienvenues pour casser un peu le rythme et souffler un peu.

Pour finir, pour ce premier tome et première oeuvre, les amateurs de Shonen ne seront pas déçus. Les amateurs d'aéronautique ne seront pas en reste non plus car les avions sont superbement réussis et n'ont rien d'imaginaire.
Une bonne lecture


Lien : http://www.7bd.fr/2017/06/te..
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Dernière lecture des 48H BD 2018. On conclut l'aventure avec un manga à la fois plaisant, mais pas forcément passionnant si on n'aime pas le sujet (ce qui est malheureusement mon cas…). Cette saga s'adresse aux passionnés d'aviation, puisque Riku, un jeune homme de dix-neuf ans, rêve de devenir pilote d'avion de chasse… Pour ma part, je ne suis pas spécialement fan de tout ce qui est « méchas » ou avions en manga. de ce fait, je n'ai pas spécialement été touchée ou emballée par les sensations décrites par le héros ou par ce qu'il va vivre… Néanmoins, je dois reconnaître que l'auteur propose une histoire abordable : il n'y a pas de notions trop techniques ou d'éléments difficiles à comprendre. A ma grande surprise, on est d'ailleurs sur une ambiance lycée/faculté avec des cours et des épreuves pratiques ! Riku va rapidement former un petit groupe avec la jolie Nao, Kôjiro, Ichirô et même Takayuki, un rival qu'il va apprendre à connaître. On va suivre la progression de chacun : leurs difficultés, leurs réussites, leur personnalité ainsi que leur famille. Hormis le contexte qui est assez original, l'atmosphère sonne très classique, surtout si on a déjà lu des mangas en milieu étudiant…

Le coup de crayon est assez chouette. Les avions sont superbement réussis et les visages sont très expressifs. Les planches dégagent énormément de rythme et de dynamisme. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai décidé de découvrir cet ouvrage même si la quatrième de couverture ne me bottait pas plus que ça… Riku est tout à fait le type de héros que l'on retrouve dans les shonen : un personnage passionné, rêveur, vif, entêté, bout en train et ami fidèle. Il m'a un peu fait songer à Soma de « Food Wars ! », car il nourrit des rêves d'enfant et s'en donne les moyens en allant jusqu'au bout. Comme la plupart des mangas, notre jeune héros va avoir des épreuves dont il va tirer des leçons et d'où il va en ressortir grandi… Mais la plus grande bataille réside dans l'évolution des capacités de Riku ! En effet, Takoaka Hayari, pilote de génie et modèle de l'école, s'intéresse à lui. On a l'idée de mentor/rival/ami à surpasser… Personnellement, cela ne me dérange pas, mais je trouve que c'est un élément classique qui s'ajoute de nouveau à une trame scénaristique déjà très employée dans le genre. En soit, le manga n'est donc pas mauvais ; il est prometteur et pose bien les bases de son histoire ! J'aurais simplement souhaité plus d'originalité…
Lien : https://lespagesquitournent...
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critiques presse (1)
ActuaBD
21 juin 2017
Malgré le fait que le manga soit l’adaptation d’un roman, on demeure dans une forme shonen qui ne brille guère par son originalité et dont l’action se passe un peu trop au sol à notre goût.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
- Sakagami, tu ne crois pas qu’il va nous poser des problèmes ? Il s’est déjà battu avec un autre élève.
- Non, au contraire. Il n’a pas l’air du genre à se bagarrer pour rien. Pour moi, il a choisi le moyen le plus rapide pour résoudre le problème. Il a évalué la situation… Et a pris une décision difficile sans sourciller. Comme un autre homme a réussi à le faire un jour.
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L’avion qui prend de la vitesse… Les pneus qui crissent… Le vrombissement de l’hélice… Le rugissement du moteur… Cette force qui me colle à mon siège… Et soudain… La gravité qui disparaît… C’est ça… La puissance du vol !
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Le ciel… Depuis les temps immémoriaux… les humains croient qu’il est le domaine de Dieu. Nous le vénérons. Pour nous qui n’avions pas d’ailes, ce monde semblait hors d’atteinte.
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Les soldats protègent leur pays. Ils ne se moquent pas des autres, ils apprennent d'eux.
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Contre le Ciel, nul n'a puissance.
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