La prisonnière du temps

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

C'est l'histoire d'un manoir ,dans la campagne, au bord de la Tamise qui sera achetée par un peintre dans les années 1860 . Dans ses murs se déroulera un drame , qui impactera tous les autres personnages, résidents ou simples visiteurs. Une femme et un bijou ont disparu, une autre a été tuée.
C'est l'histoire d'une petite fille ( Birdy) abandonnée, dans un Londres à la Dickens qui deviendra la muse de ce peintre et bien plus que ça.
Cette maison changera de propriétaire ...
Jusqu'au jour de 2017, où une jeune archiviste tombe sur une photographie de la maison et bingo... ça lui rappelle quelque chose de familier ...
Et ...coup de bol, pleins de bonnes petites fées l'aideront à retrouver la maison, l histoire de son propriétaire , ( histoire qui s'emboîtera pile poil dans l' histoire de sa famille )...et tout est merveilleux dans le plus beau des mondes ...
Bon, vous l'aurez compris, j'ai été agacée par le nombre de coïncidences qui tombent à pic... ( L'auteur nous prend vraiment pour des lapins de trois semaines ! )
Et "la Elodie" qui aimait "moyen" son fiancé, va tomber , sur un séduisant jeune homme qui bosse au manoir...Ben voyons...
J'avais remarqué ce roman pour sa somptueuse couverture, puis j'ai lu qu'on comparait l'auteure à Daphné du Maurier, mais on est loin, très loin du maître ...
Trop d'époques, trop de personnages dont certains n'apportent pas grand- chose à à la structure narrative . Il en résulte des portraits assez caricaturaux, l'auteur disposant de moins d'espace pour peaufiner leurs caractères.
Lucy n est ainsi que la petite soeur du peintre , moyennement jolie, mais très intelligente... Tout comme Ada, personnage qui ne sert à rien, sinon qu' à brouiller les pistes imaginées par la lectrice laquelle n'a plus qu'une seule obsession : mais qui est le fantôme féminin qui hante le manoir ! Et qu'est-il arrivé la nuit du drame ?
J'aurai aimé que Kate Morton s'en tienne à cela, c'est la seule partie captivante du roman.
J'ai eu beaucoup de mal avec la partie contemporaine , l'auteure enfilant les clichés comme des perles...
Beaucoup de longueurs , assez roboratif , quelques passages agréables et un fantôme assez sympathique . Mais rien d' original sous cette si jolie couverture !

Challenge Mauvais Genres.

Ce livre ne retiendra votre attention que si vous avez l'âme romantique et mystique mais attention l'intrigue, ou les intrigues devrais-je dire, ne s'éclaircit qu'au derniers tiers du roman. Comme il fait plus de 700 pages, il faut s'armer de patience pour dénouer les nombreux fils qui le constituent. Les changements de narrateurs et d'époques sont parfois déroutants et l'auteure se montre un peu trop bavarde mais le charme peut opérer si les romances à la sauce anglaise vous plaisent.

La couverture m'avait attirée et le résumé semblait fait pour moi. Quelle déception ! Je n'ai jamais mis autant de temps à terminer un bouquin.... Car il était terriblement ennuyeux. Il y a près de 700 pages mal écrites de petites vies de personnages sans saveur, liées par une maison (Birchwood manor) et un drame qui s'y est déroulé. Certaines histoires n'apportent absolument rien à l'intrigue et sont vraiment clichés (Juliet, Elodie), et certaines autres sont inégales, mal ou trop légèrement terminées (Alastair, Tip...). Quant à la résolution, je l'ai vue venir de très loin ! (et le coup du diamant bleu que tout le monde cherche et que l'on retrouve dans la poche de l'héroïne qui l'avait depuis le début, mouarf, c'était trop drôle...) J'ai un peu eu l'impression que l'auteur avait mêlé comme ingrédients des bouts d'intrigues et de thèmes qu'elle aimait mais que la pièce montée ne tient pas de bout et est écoeurante.
Le mieux était encore la note de l'auteur à la fin, parce qu'elle donne toutes ses références et inspirations. Je suis allée les (re)consulter pour imaginer ma propre histoire :)

Bon, je vais être honnête, j'étais pourtant à fond dans le mood du bouquin, mais il m'a beaucoup moins emballée que le premier roman lue de cette romancière... J'ai d'ailleurs eu la sensation qu'elle reprenait les ficelles du premier (et à voir sa bibliographie, je pense que c'est un peu sa marque de fabrique) avec des allers et retours dans le temps et des personnages qui, au final, se révèlent liés à travers les époques. Même si j'ai passé un moment distrayant, j'ai été déçue d'avoir vu rapidement les ficelles qu'elle allait dérouler au fil de ses chapitres...

Par ailleurs, elle fait appel à plusieurs personnages secondaires qui vont occuper Birchwood Manor à différentes époques. L'idée est sympa, mais pour certains, j'ai eu du mal à saisir l'intérêt et ai de fait ressenti quelques longueurs...

Bref, si vous n'avez jamais lu Kate Morton et que vous êtes prêts à avoir un soupçon de fantastique dans votre lecture, vous pouvez tenter. Sinon, il faut vraiment que vous soyez adeptes de ce genre de roman / saga pleine de bons sentiments où l'amour finit toujours par triompher !
Lien : http://croqlivres.canalblog...

tout à fait d'accord avec Iris29 : bien trop compliqué pour suivre cette histoire qui aurait pu être savoureuse ...

Un roman qui commençait bien mais très vite l'auteure se perd dans son propos en multipliant les personnages sans rien ajouter à l'intrigue. Dommage l'idée de départ était bonne. Mais une bonne idée ne suffit pas pour faire un bon livre. Je suis sortie déçue de ma lecture.

Je suis très mitigée. L'histoire en tant que telle avait du potentiel. C'était bien pensé et ça aurait pu être très bien. Mais le chemin pour en arriver au dénouement de l'intrigue prend toutes les directions, un vrai labyrinthe ! Tellement de personnages, d'époques, de détails et de descriptions inutiles qui ajoutent à la lourdeur du roman ... beaucoup trop long, beaucoup trop de détours, pour que j'en garde un bon souvenir. Je me suis débarassé de cette lecture pour vite plonger dans une nouvelle. Perte de temps.

Trop de longueurs, trop de sauts dans le temps, trop de personnages, une écriture sans charme et une intrigue peu captivante. Très décevant, Kate Morton et moi, ça n'est pas l'accord parfait.