Le Meurtre du Commandeur, tome 1 : Une idée apparaît

Bouh!
Qu'elles sont loin mes premières lectures enthousiasmées de Murakami!!!!
On s'ennuie, on s'ennuie fort dans ce premier tome. Ce n'est pas que l'intrigue n'est pas intéressante, hein, c'est qu'elle traîne en longueur, l'auteur répète et rerépète les choses des fois qu'on ne comprenne pas, du coup on a l'impression de relire les mêmes pages... Comme le précédent, tiens :-(
Il est payé à la page non?
Bon, je vais me lancer dans le tome 2 mais sans conviction. Oh et puis ils m'agacent aussi les personnages, ils sont mal dessinés, on ne comprend pas franchement leurs motivations, et la dimension un peu ésotérique et toute en métaphores que j'aimais tant dans ses premiers romans a disparu... On sent qu'il essaie, hein, mais non, sans succès. On dirait un premier jet qu'il ne s'est pas donné la peine de relire.

L'auteur ose les incursions dans la farce féérique avec l'apparition d'un histrion, invisible de tous sauf du héros. Je n'ai pas aimé ce procédé narratif, ni les citations incessantes des marques de voitures...

Je n'ai jamais été attirée par les livres de Haruki Murakami, et après avoir lu "Le Meurtre du Commandeur, tome 1 : Une idée apparaît", je peux dire que mon intuition était correcte. Son style d'écriture ne m'a pas du tout séduite. Les sauts temporels et les spoilers constants ont rendu la lecture désagréable. J'aime être surprise par une histoire, mais ici, chaque élément était prédit à l'avance, ce qui a tué toute tension ou suspense.
En ce qui concerne le protagoniste, je n'ai jamais réussi à m'y attacher. Ses pensées étranges sur des sujets sensibles et ses réactions bizarres à certaines situations m'ont déconcertée. Par exemple, son obsession pour les seins de sa soeur décédée à douze ans était tout simplement dérangeante.
De plus, les déductions illogiques du personnage m'ont agacée. Il passe du coq à l'âne sans raison apparente, ce qui rend difficile de suivre sa logique. Par exemple, sa conclusion sur sa claustrophobie était complètement tirée par les cheveux et ne semblait pas du tout crédible.
L'intrigue elle-même aurait pu être intéressante si elle était écrite différemment. Cependant, le tome 1 se termine sur un anticlimax total, sans aucun élément pour retenir l'attention du lecteur. Cela m'a laissé une impression d'inachevé et une grande déception.
En fin de compte, je ne comprends pas l'engouement autour de cet auteur. Son style d'écriture est loin d'être fluide, ses personnages sont étranges et l'histoire manque de punch. Je suis tentée de lire le tome 2 uniquement pour obtenir des réponses à certaines questions en suspens, mais si cela signifie supporter le même style, je ne suis pas sûre que cela en vaille la peine.

Abandonné avant la fin. Bien écrit mais on attend quelque chose au fil des pages et quand cela arrive : grand blanc et je referme le livre

On retrouve bien le style de Murakami dans ce premier volet « Une idée apparaît ». On y trouve le Japon, le bouddhisme, la peinture, un peu d humour et surtout son mystère, présent sans être dérangeant, une curiosité attisée par des personnages attachants et intrigants. Nous ne savons pas, à la fin de ce premier tome, ce que nous allons découvrir, mais les bases sont posées. J ai hâte de lire la suite...

Après une séparation d avec sa femme, le narrateur par vivre (s exiler?), dans la maison du père d un ami d enfance, célèbre peintre nihonga Tomohiko Amada. le narrateur est lui même portraitiste et se retrouve dans son éléments dans cette maison, à flanc de colline, isolée, paisible. Puis vient la rencontre avec Wataru Menshiki, riche jeune homme d affaires, souhaitant avoir son portrait. Une rencontre qui va entraîner plusieurs événements intrigants, notamment la découverte du tableau « le meurtre du commandeur », réalisé par Tomohiko Amada...

Je n en dis pas plus, bien sur ! Je vous laisse découvrir et vous laisser porter par l écriture de Murakami.

Bon, critiquer un auteur que l'on dit nobélisable chaque année, cela risque de me faire cataloguer dans la série des « incultes qui n'y connaissent rien ». Tant pis…

Harukami est un grand auteur, aucun doute là-dessus. Il ressort du livre un souffle, un envoûtement, une épopée vaguement hypnotique qui vous prend et vous pousse à continuer. Il y a aussi une histoire originale, des personnages très bien dessinés, un style fluide et agréable.

Mais, bon… Ce talent au service de quel récit ? J'aime bien le fantastique. Mais dans le fantastique, il faut que je trouve de la cohérence. Les règles sont différentes, mais il y a des règles quand même que les personnages respectent. Ici, je n'ai pas su les trouver. J'ai refermé le livre sans savoir pourquoi les évènements étaient arrivés, ni quel était l'objectif des personnages qui sont apparus, ni quelles étaient les règles de ce monde parallèle. Est-ce moi qui n'ai pas compris ? Peut-être. Mais du coup, je reste sur ma faim. Frustré. Et à la réflexion, même le tout premier chapitre que j'avais trouvé super-accrocheur, je me demande au final ce qu'il venait faire dans cette histoire (je n'ai malheureusement plus le premier tome, pour pouvoir le relire avec un autre oeil).

De plus, outre la relative passivité du héros devant les évènements (mais après tout cela fait partie du style hypnotique de l'auteur) j'ai été gêné par les nombreuses redondances du texte. On redit sans cesse la même chose plusieurs fois, y compris sur la même page. C'est bien pour les poissons rouges, mais au final, les deux livres auraient pu tenir dans un seul.
En conclusion, donc : bilan très mitigé. A vous de voir si vous voulez passer autant de temps dans cette atmosphère envoûtante (c'est quand même un gros pavé !), sans au final y comprendre grand-chose. Mais peut-être aurez-vous d'autres clefs que les miennes pour le faire…

Lien : https://marc-torres.fr/

J'ai terminé le tome 1 mais sans envie aucune d'en démarrer la suite. J'ai trouvé ce livre, quoique bien écrit, un peu lent.
Le Japon et sa culture me sont'est assez peu familier. Je trouve que c'est une société assez violente et peu bienveillante, je n'ai pas su comprendre et accrocher aux pas de cet artiste peintre.
Dommage, peut-être, mais je ne persiste pas.
La faute, aussi, à ma PAL , tellement haute, que la sens qui m'appelle à ouvrir d'autres livres.
A voir, si je n'y retourne pas plus tard.