Un début prometteur mais une histoire interminable et parfaitement ennuyeuse. J'ai vraiment eu du mal à accrocher, insensible que je suis à croire qu'un journaliste d'investigation puisse ainsi se faire manipuler jusqu'à croire à une pseudo machiavélique magouille teintée de magie noire et de malédictions mal ficelées. Une fin à tiroirs sans grand suspense et une volonté maladroite à faire peur (sans succès) ne font que rendre ce livre pénible à lire jusqu'au bout.
Un flop quoi! J'ai eu l'impression de perdre mon temps ...Et dire que ce livre m'avait été recommandé comme étant un livre à succès.
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Un livre qui m' a vraiment passionné ..au début.Une intrigue intéressante, une construction originale.J'étais donc parti pour un long et intense moment de lecture. Et , progressivement, cela devenait moins fluide , rempli de longueurs inutiles et j'ai renoncé car le roman me paraissait interminable.Il eût fallu élaguer beaucoup pour maintenir une bonne dynamique de lecture.
En fait, un schéma très classique car ils ne sont pas si nombreux les auteurs capables de " tenir la route" súr 700 pages. Manque de modestie? C'est d'autant plus regrettable qu'on sent un vrai talent .
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Ce roman s'ouvre comme une scène de film : un homme court en plein coeur de New York, il fait noir, une pluie fine rythme son pas de course, et dans « l'intérieur de cette nuit », une tache rouge apparaît. Elle est un manteau, une silhouette de femme, et le joggeur cherche d'emblée à la rattraper, mais sans cesse le visage de l'inconnue se dérobe à lui, et il termine sa course à l'inconnue sous la pluie, pour regagner le métro souterrain, il s'assied, tourne la tête, et voici le manteau rouge qui descend les marches souterraines menant à cette cabine qui s'en va traverser le tunnel, et séparer le regard intrigué, « accroché » de l'homme par ce visage féminin, lequel n'aura pas été là par hasard…
Puis nous sont données les premières pages de ce dossier constitué par l'auteure, et qui contient des photos, des pièces d'enquête, des articles de journaux, et même des « extraits » de sites graphiquement crées pour le roman. Ce sont des informations qui nous sont disséminés au fur et à mesure de l'avancée de l'intrigue, par un procédé qui s'intègre parfaitement au fil de la narration, sans jamais la briser ni même la brider… Et de cette façon, nous faisons connaissance avec Stanislas Cordova, cinéaste à la réputation sulfureuse de reclus, et à la tête d'une filmographie quelque peu atypique… Sa fille s'est suicidée, et le héros ayant des comptes à régler avec le cinéaste, ré-ouvre son enquête classée cinq ans plus tôt, avec l'aide de deux «assistants », qui s'imposent à lui pour constituer un trio incertain et non dépourvu de quelques zones d'ombre à éclaircir…
Il y a des éléments qui sont propices à faire fantasmer l'imaginaire du lecteur, comme la superbe propriété de Cordova, son tempérament et sa biographie, et certains des thèmes abordés telle la difficile étanchéité entre la réalité de l'autre et notre propre perception des choses, la force créatrice de l'artiste qui dévore ceux qu'il touche, la soumission, la capitulation face à ces ogres, ou bien le refus d'accepter la réalité proposée par d'autres, les limites de notre force morale et de notre raison avant que celles-ci ne cèdent à des avatars de vérité, le tout questionne notre identité, et comment elle fluctue au gré de soi et au gré des autres. En cherchant à apporter des réponses aux questions de son enquête, le protagoniste va se livrer au jeu de ses limites, il va devoir apprendre jusqu'à quel point même les certitudes de toute une vie peuvent être choses fragiles, et en apprenant les trucages des films et les manipulations d'un réalisateur, il se glissera exprès dans un rôle taillé pour lui…
Certes, si les personnages et les situations sont bien dépeints, et si la première partie est plus addictives, il s'avère néanmoins que la seconde partie aurait pu (ou aurait dû), être plus haute en couleurs. En effet, le début promettait une fin furieuse, alors qu'elle ne fut qu'à peine agitée… le fait qu'elle n'apporte pas toutes les clés aurait pu donner de la consistance à l'intrigue, et étoffer au mieux la personnalité des personnages principaux ainsi que le motif du livre ; mais cela ne fait que l'affadir. Dommage, car il aurait pu être plus qu'un bon livre…
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J'ai lu ce livre dans le cadre du Prix Libraires en Seine.
J'éprouve des impressions mitigées après avoir refermé la dernière page.
Tout d'abord, j'ai trouvé que c'était trop long. Au bout de la 500ème page, j'avais très envie de passer à un autre sujet.
J'ai bien apprécié le fait de mêler des documents à l'histoire : ça changeait de style et c'était plus rapide à lire.
J'avais à la fois envie de découvrir la vérité sur la mort d'Ashley, d'en savoir plus sur Cordova et en même temps, je ne suis pas très attirée par le fantastique et les films d'horreur. Je me suis attachée aux trois personnages principaux : le journaliste d'investigation et ses deux acolytes. Je trouvais que leur trio fonctionnait plutôt bien jusqu'au moment où ils s'introduisent dans le Peak. Là, j'ai décroché. Je ne m'étais pas assez intéressée aux films pour bien suivre. J'ai donc bâclé la fin histoire de faire ma bonne élève et surtout pour connaître le fin mot de l'histoire.
Au final, j'aurais préféré consacrer mon temps libre à d'autres livres. Ce ne sera pas mon vote numéro 1 du prix.
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Un pavé de 836 pages que ma fille m'a offert, un livre énigmatique et additif dixit son libraire.
Le journaliste Scott McGrath avait fait une fixette sur le cinéaste Cordova réputé pour ses films d'horreur, homme que l'on ne voit jamais sur la scène publique mais lorsque sa fille, Ashley, est retrouvée morte, Scott ressort son bâton de pèlerin et va mener son enquête sur ce décès et de rencontrer l'énigmatique père.
Un début de récit plutôt prometteur concernant la mort d'Ashley dans un entrepôt new yorkais à l'ambiance malsaine. L'enquête de Scott nous fera découvrir qui est Ashley suivant le narrateur, gentille ou méchante, malade ou envoutée, Ashley pile ou Ashley face.
J'en sors mitigée de cette lecture ou je me suis ennuyée, que de longueurs surtout au sujet des films de Cordova que j'ai fini par en zapper la lecture car trop répétitifs.
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Je n'ai pas pu aller au delà de la page 129. La raison? Une écriture quelconque, trop visuelle. J'avais l'impression de lire le script d'un jeux vidéo à énigme du genre "Police Quest" où il faut trouver des objets et parler à des personnages pour avancer dans l'aventure.
La faute aussi à des personnages bizarrement construits, réagissant de manière irrationnelle et les rendant improbables.
Point positif? Une construction astucieuse surtout par l'insertion de pages de presses qui rendent le roman plus immersif.
Néanmoins, ce n'est pas suffisant pour faire un bon livre. Essai raté pour moi donc et je ne pense pas renouveler l'expérience avec cet auteure.
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