Citations de Siècle Vaëlban (52)
- Une plaisanterie qui blesse n'est pas une plaisanterie. Tu devrais écouter lorsqu'on te demande de ne pas t'en mêler, s'exaspéra l'homme de sa voix de Tambour. Certaines blessures sont trop fragiles pour qu'on y touche !
Les amis n’utilisent pas leurs souffrances comme une arme, ils ne se moquent pas, ils soutiennent et défendent.
Nous allons mourir de ce poème. Plein- Ciel ne se conteste pas, en aucune façon.
Les émotions pouvaient bien valser dans sa poitrine, si elle les gardait enfermées à double tour, personne ne pourrait les retourner contre elle.
Personne ne devrait se détester d'exister. (p.42)
La confiance est une denrée dangereuse, ces jours-ci, mais plus que jamais nous avons besoin d'accorder notre confiance, nous avons besoin de nous unir...
Tu es prisonnière de cet Opéra, comme ton rossignol [...]. Comme nous, plus que chacun d'entre nous, et tu dois maintenir les apparences à chaque instant. Tu es le cœur de Plein-Ciel et on t'a volé ton humanité en échange d'un piédestal.
Ce qui compte, ce n’est pas l’échec, ni la souffrance, ni l’humiliation, c’est ce que vous en faites ! C’est à l’aune de votre détermination que s’orientera votre vie. Quel choix poserez-vous face aux défis, face aux autres, face à vous-même ?
Tu dois distinguer la parure de ce qu'elle dissimule. Aucune illusion ne te protégera de ta peau-de-lune. Il te faudra du discernement, du tact et de la discrétion. N'oublie pas !
Le vrai courage, c'est de dire au revoir. Si on ne sait pas dire au revoir, on n'ose jamais aimer.
Si seulement on l'a laissait choisir sa vie, elle n'adresserait plus jamais la parole à un être humain !
Une plaisanterie qui blesse n'est pas une plaisanterie. (p.268)
Elle caresse Citara. La panthère se blottit dans son cou, avec l'envie de rester là pour toujours, de ne plus jamais bouger. Kinjal ressent tout ce qui se passe à l'intérieur de son Étoile ; ils sont liés au-delà des mots. Dans la langue des esprits, elle lui chuchote les mystères de la forêt, et Citara l'écoute avec attention : il apprend le goût de la sève, le bruit de l'eau et des pierres qui roulent dans le torrent, tout cela sans quitter son étreinte. Là aussi, il y a de la magie à l’œuvre.
Le vrai courage, c'est de dire au revoir. Si on ne sait pas dire au revoir, on n'ose jamais aimer.
Communiquer avec les autres, mais quelle gageure !
Le dragon de papier était si large que la scène de Plein-Ciel peinait à le contenir entièrement.
Le vrai courage, c'est de dire au revoir. Si on ne sait pas dire au revoir, on n'ose jamais aimer.
- Maman a été transformée en saucisson.. Fort bien. Puis-je la suspendre dans l'arrière-cuisine ?
- En voilà une excellente idée, mon petit !
La peur nous colle aux basques, ma vieille, on ne peut même plus manger des prunes en paix. Le Chant - des- Oiseaux nous traque jusque dans les fourneaux !
L'hérésie est définie par ceux qui font l'Histoire.