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Anne-Sylvie Homassel (Traducteur)
EAN : 9782264083074
480 pages
10-18 (07/03/2024)
4.24/5   91 notes
Résumé :
Entre Pachinko de Min Jin Lee et La Maison aux esprits d'Isabel Allende, un livre à la fois politique et intime. "
Chicago Review of Books
Dans le Séoul des Années folles, une ville énergique et rebelle qui frémit sous le joug de l'occupation japonaise, jeunes courtisanes, aristocrates, soldats et idéalistes se désirent et se déchirent. Jade la gisaeng aime Hanchol, l'étudiant déclassé. Mais c'est Jungho, le chef de bande orphelin, fils d'un chasseur d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
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En 1918, Jade n'a pas encore dix ans lorsque sa mère la vend à Miss Silver, la tenancière d'une maison de courtisanes. Aux côtés de la pétillante Lotus et de la sublime Luna, les filles de Miss Silver, la fillette est formée à devenir une gisaeng, une courtisane coréenne. Après un drame, les trois filles sont envoyées à Séoul dans la maison de Dani. Dans la capitale bouillonnante, Jade découvre une société moderne, trépidante, glamour, mais aussi les ravages de la colonisation japonaise et le désir d'indépendance de ses compatriotes. Elle se lie d'amitié avec le fils d'un chasseur de tigres, l'intrépide Jungho, chef d'une bande de mendiants.
En grandissant, Jade devient l'une des plus belles filles de Dani et pour Jungho, l'amitié enfantine se transforme en amour fou. Mais Jade s'est éprise d'Hanchol, un étudiant sans le sou. Jungho s'engage au Parti communiste, leurs routes se séparent mais le lien qui les unit reste indéfectible.

Magnifique fresque historique qui couvre une bonne partie du XXè siècle, de 1917 à 1965.
Ces créatures dont parle Juhae Kim, ce sont des êtres, humains, faillibles, qui tentent de suivre leur chemin dans un monde en constant bouleversement, dans un pays qui a beaucoup souffert. La colonisation japonaise et le désir fou de s'en libérer, la guerre fratricide et la partition qui en a résulté, la chasse aux communistes au sud, la chape de plomb au nord, autant de circonstances auxquelles ces fameuses ‘'créatures'' ont tenté de survivre, certains difficilement, d'autres en tirant profit de la situation, certains pacifiquement, d'autres avec la rage au ventre, et tous victimes de décisions prises par d'autres.
De son pays maltraité par l'Histoire, l'autrice nous fait aussi découvrir le inyeon, une connexion particulière entre deux individus. Fruit d'une rencontre unique mais mémorable ou d'un long parcours côte à côte, le inyeon est le fil du destin qui relie entre eux les différents personnages. L'officier japonais et le chasseur de tigres, l'apprentie courtisane et le mendiant…autant de rencontres qui entraîneront des répercussions…
Avec ses personnages charismatiques, son souffle romanesque, ses petites histoires dans la grande Histoire, Créatures d'un petit pays est un roman bouleversant, dur mais aussi sensuel et romantique, une merveilleuse façon d'en apprendre plus sur ce ‘'petit pays'' qu'est la Corée. Un coup de coeur.

Un grand merci à Babelio et aux éditions Les Presses de la Cité.
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Une saga coréenne qui retrace l'histoire de ce pays sur des décennies, de l'occupation japonaise jusqu'à sa scission Nord-Sud qui perdure encore. de nombreux personnages, des amitiés (entre courtisanes surtout, élevées ensemble), des amours, des amours perdus aussi, des révolutionnaires et des trahisons. L'écriture est tendre, posée. Si ce livre m'a permis de comprendre ce qui a façonné ce pays sur le siècle dernier, il ne m'aura pas emporté sur l'émotion. Mais d'autres le devraient parce qu'après tout c'est une romance historique qui nous fait aller au bout sans ennui.
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J'attendais beaucoup de "Créatures du Petit Pays", de cette saga historico- romanesque coréenne à la si belle couverture que signe Juhea Kim et c'est peut-être pour cela que j'en suis un peu déçue au terme de ma lecture, agréable certes mais pas transcendante non plus.
Le roman réunissait pourtant tous les ingrédients prompts à m'envouter: mêlant la petite histoire à la Grande, il se proposait, outre de conter les destins flamboyants et combinés de personnages complexes et attachants, de raconter aussi la Corée et sa trajectoire tourmentée de 1917 aux années 1960. C'était ambitieux, peut-être trop...
Moi, c'est d'abord la Corée qui m'a poussée vers "Créatures du Petit Pays": j'ai toujours été attirée, fascinée par l'Asie du Sud-Est et si je peux m'enorgueillir d'assez bien connaître les Histoires de la Chine, du Japon ou encore du Viêt-Nam et du Cambodge, je suis en revanche très ignorante concernant la Corée... Assez souvent, les romans, et ce qu'importe leur sujet, furent pour moi des portes d'entrée vers d'autres lectures, plus scientifiques et je comptais autant me délecter des grands petits bonheurs qu'offre la fiction que de m'immerger dans une fresque historique avec le roman de Juhea Kim. Peine perdue: il m'a laissée sur ma faim sur les deux tableaux. Par ailleurs, je l'ai trouvé assez inégal aussi, alternant de très beaux chapitres avec des passages plus médiocres... Me voici donc bien embêtée face à mon clavier: moi qui suis si peu à l'aise avec les entre-deux, je nage entre deux eaux...

L'histoire commence par un prologue aussi énigmatique que magnifique par une chasse aux tigres au nord de la Corée. Il fait froid et les soldats japonais qui espèrent la capture du plus majestueux des fauves grelottent tandis que leur guide, coréen, avance à pas de loups. Poétique, d'une synesthésie troublante et que j'ai l'impression de retrouver très régulièrement chez les auteurs de culture extrême-orientale et sublime, cet incipit envoute autant par sa beauté que par sa portée symbolique qui, on le devine, révélera plus tard dans le texte toute sa signification. J'aurai aimé que le reste du roman soit de la même trempe...
Pour autant, la dichotomie qui se dessine entre ce prologue et une bonne partie du roman s'explique sans doute par l'opposition qui se dessine dans le récit entre des évènements symboliques, presque éthérés et des faits plus prosaïques, plus terre-à-terre, à l'image de la vie finalement...
Le chapitre qui suit laisse le tigre dans sa montagne et nous présente Jade, une fillette de dix ans à peine que sa mère vend à une riche courtisane comme domestique. La fillette grandit ainsi auprès de Silver, la tenancière du lieu et des filles de cette dernière Luna et Lotus. Nous sommes en 1917 et la Corée subit depuis quelques années déjà la colonisation du Japon qui sous couvert d'un protectorat exerce sur le pays une domination cruelle dont nos héroïnes vont faire les frais. Un drame qui va conduire Jade, Lotus et Luna jusqu'à Séoul, chez une cousine de Silver, Dani, qui les prend sous sa protection et qui décide que Jade ne sera pas domestique, non. Elle deviendra elle aussi une gisaeng, une courtisane coréenne. Dans cette ville bouillonnante, Jade découvre une société plus moderne que tout ce qu'elle a pu connaître auparavant, une société trépidante, enfiévrée. Elle prend également avec davantage d'acuité des effets de l'occupation japonaise et des désirs d'indépendance voire de résistance de certains de ses compatriotes. Elle fait aussi la connaissance de Jungho, gamin des rues puis chef d'une bande de mendiants. Une étrange amitié, puissante pourtant, qui les liera de leur enfance à l'âge adulte, d'un de ces matins de 1917 aux années soixante autant qu'elle sera mise à mal par les choix qu'ils feront, par leurs trajectoires personnelles, par les fracas et les turpitudes de l'Histoire en marche dans ce petit pays. Ainsi, alors que Jade deviendra l'une des courtisanes les plus célèbres et célébrées de Séoul, Jungho, lui, adhérera au parti communiste. Ainsi alors que pour l'un l'amitié deviendra amour fou, l'autre s'éprendra d'un autre coeur.
Et en filigrane, l'Histoire de la Corée, ses soubresauts de la colonisation japonaise à la volonté de s'en libérer, de la guerre fratricide à la partition, de la chasse aux sorcières communistes dans le sud à la chape de plomb qui s'abat sur le Nord.
Cela aurait pu être grandiose mais cela ne l'est pas, à mon grand désespoir.
Selon moi, cela tient à plusieurs éléments...
Tout d'abord, bien que l'écriture de Juhea Kim soit très belle, elle est aussi souvent pleine de retenue, presque froide et on se sent parfois très loin des personnages. Il y a quelque chose de très extérieur dans cette écriture qui m'a sans doute un peu empêché de m'investir pleinement dans l'histoire. de plus, l'auteure passe très vite sur la plupart des personnages qu'on rencontre... Je pense à Luna et Lotus par exemple qui méritaient bien mieux, bien plus d'intérêt. Luna m'a en particulier fait l'effet de n'être qu'une ombre dans les trois quarts du roman alors que Juhea Kim lui fait vivre dans le premier quart des évènements dont les conséquences auraient mérité qu'on approfondisse son personnage!
Ensuite, comment ne pas évoquer les ellipses qui émaillent le roman? En effet, l'auteure a fractionné son roman par période, par décennie. L'on passe de par exemple de 1917 à 1925, puis de 1925 à 1934 sans crier gare. Bien entendu, je comprends que raconter ce qui se passe pour les personnages dans ces interstices serait sans doute trop long, trop plantureux mais il n'en demeure pas moins que ces ellipses sont extrêmement frustrantes tant du point de vue historique que du point de vue des personnages. Les vides ne m'ont pas semblé comblé de manière pertinente, j'ai eu l'impression d'un procédé mal maîtrisé, qui aurait pu fonctionner mais qui ne fonctionne pas, doublé d'une impression de facilité...
Pour autant, "Créatures du Petit Pays" est aussi traversé de moments de grâce et c'est ce qui rend si difficile l'écriture de ce billet. En vrac pour la grâce: le prologue bien sûr et le final du roman; le personnage de Junhgo poignant et si complexe; cette mélancolie douce-amère qui nimbe tout le roman et la chanson triste du poids des souvenirs et du temps qui passe; l'amour qui peut-être si grand mais qu'on ne partage jamais; la volonté d'écrire "la vraie vie de personnages vrais" plutôt que de donner dans un héroïsme surfait; l'écriture et certains passages...
Un bilan aussi doux-amer et complexe que le roman en définitive que je ne regrette pas d'avoir lu, dont je regrette pourtant les imperfections.











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Avec Créatures du petit pays,Juhea Kim nous raconte de façon très romanesque, l'Histoire de la Corée de 1917 jusqu'à sa désunion sous l'emprise des grandes puissances américaines et soviétiques. Pour le malheur de son peuple la Corée est alors divisée en deux.
Jade est le personnage central de cette saga. Enfant, elle est accompagnée par sa mère chez une courtisane afin d'en devenir la domestique. Mais tel n'est pas son destin et elle deviendra une grande courtisane et une artiste.
Les aléas de la vie mais surtout l'impérialisme japonais, lui feront connaître la beauté et le raffinement, la faim et la peur,l'abondance et la perte. Porté par un bel élan de vie, ce roman se lit comme on danserait une valse,dans un tourbillon de rencontres,d'images,d'émotions qui alternent plus ou moins vite au rythme de la musique. S'il existe un fil conducteur, celui de la réalité historique et du temps qui s'écoule, le monde des sentiments et des passions ne nous cantonne pas dans la linéarité. Dani,Luna,Lotus,Hanchol,Jungho et bien d'autres sont tous des personnages attachants et complexes ,et font de ce roman un bien beau moment de lecture.
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La Corée, entre 1917 et 1962, ses évolutions historiques - en pleine annexion japonaise, faisant du pays une simple province nippone jusqu'à l'après-indépendance et la séparation du pays en deux après 1945 -, et ses évolutions sociétales, culturelles, familiales... qui en découlent, c'est ce qui nous est raconté dans ce roman historique, qui baigne tant dans l'intime, celui des Créatures de ce petit pays, Jade principalement, petite paysanne promise à devenir courtisane, qui deviendra au bout du compte bien plus dans le Séoul des Années Folles, mais aussi son amie, Lotus, qui va suivre plus ou moins la même trajectoire, ou encore Jungho, enfant des rues qui deviendra son ami, pour n'en citer que quelques-uns, que dans L Histoire tragique dont ils vont tous, faire partie, et qu'ils vont tous, à leur façon, faire et défaire.

Roman historique en premier lieu, mais aussi roman de moeurs, d'amour, de combats politiques, qui dépeint avec précision, et avec une certaine grâce paradoxale, parfois, un monde en constante mutation, contrainte ou choisie, qui se débat avec force et conviction contre les aléas qui l'écrasent, symbolisant toute la richesse et la complexité de la Corée au XXème siècle.

Je remercie les éditions des Presses de la Cité et NetGalley pour la découverte de ce roman qui se lit avec plaisir, malgré la dureté de l'Histoire qu'il évoque.
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critiques presse (1)
Marianne_
27 mars 2023
À travers les destins qui sans cesse se croisent, s’éloignent et se recroisent d’une poignée de picaros coréens des deux sexes, Juhea Kim retrace l’histoire d’un pays déchiré, occupé par les Japonais, terrain de jeu de la Guerre froide, soumis à un dictateur sanglant, mais toujours soucieux de beauté.
Lire la critique sur le site : Marianne_
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Nous rêvons tous, mais cela ne fait pas de nous tous des rêveurs. Les non-rêveurs, plus nombreux, voient le monde tel qu'il est. Les rêveurs le voient tels qu'ils sont eux-mêmes. La lune, le fleuve, la gare, le bruit de la pluie et même cette chose si ordinaire qu'est un bol de porridge devient tout autre, un univers aux multiples strates. Leur monde est une peinture plutôt qu'une photographie ; les rêveurs voient toujours des couleurs cachées où les autres ne voient que la teinte dominante. Les non-rêveurs utilisent des lunettes, les rêveurs des prismes.
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Elle apprit à apprécier l'éloquence joyeuse de sa camarade, le don qu'elle avait de présenter le moindre évènement comme la chute d'une étoile filante,un phénomène inattendu et merveilleux dont elles seules auraient été les témoins.
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Dani avait attribué à chacune de ces jeunes invitées une fleur supposée refléter ses qualités...
...Pour Jade, elle avait choisi le camélia d'hiver, un arbuste du Sud que la fillette n'avait jamais vu dans son Pyeongan natal, trop froid...
... lorsqu'elle se fanait, la fleur du camélia ne brunissait pas, ne se délitait pas pétale par pétale comme les autres ; elle tombait, intacte, immaculée, rouge sang, veloutée comme un cœur. Aussi belle à terre qu'au jour de son éclosion.
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La vie n'est supportable que parce que le temps fait tout oublier. La vie vaut la peine d'être vécue parce que l'amour réveille tous les souvenirs.
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– Tu sais que ma couleur préférée est le bleu ? dit-il les yeux dans le vague comme s’il essayait de se remémorer un souvenir ancien. Depuis que je suis tout petit, j’aime regarder le ciel. Tout ce qui est bleu attire mon regard. Une cravate, une robe de femme. Si je te retrouve toujours dans la foule, si je t’aime c’est parce que tu es mon bleu.
[…]
Elle fut touchée, mais aussi troublée par cette vérité inexprimable : il n’était pas son bleu à elle. Le seul homme qui ait cette signification pour elle ne l’aimait plus, et ne voulait même plus la fréquenter. Par pitié, que Jungho se taise à présent !
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Videos de Juhea Kim (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Juhea Kim
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