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EAN : 9782081343900
240 pages
Flammarion (18/01/2017)
3.4/5   137 notes
Résumé :
Avant d’inventer Émile Ajar, Romain Gary s’est inventé un père. Bâtissant sa légende, l’écrivain a laissé entendre que ce père imaginaire était Ivan Mosjoukine, l’acteur russe le plus célèbre de son temps. La réalité n’a rien de ce conte de fées. Drame familial balayé par l’Histoire et fable onirique, Romain Gary s’en va-t-en guerre restitue l’enfance de Gary et la figure du père absent. Avec une émotion poignante, le roman retrace vingt-quatre heures de la vie du j... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
3,4

sur 137 notes
« On associe le génie de Gary à sa mère. L'énigme Gary c'est son père » rappelle le bandeau de ce roman qui se focalise sur les deux journées de janvier 1925, où Roman, âgé de 11 ans, apprend le 26 que son père abandonne sa famille puis, le lendemain 27, qu'il refait sa vie avec Frida enceinte de ses oeuvres.

Roman Kacew part en guerre contre son papa Arieh Kacew, fourreur juif à Wilno (Vilnius, capitale de la Lituanie) et quand il sera devenu Romain Gary, prétendra être fils de l'acteur Illich Mosjoukine, ce qui est invraisemblable pour les historiens.

Roman Kacew part en guerre contre l'antisémitisme qui sévit dans cette province alors polonaise après avoir été russe, et Laurent Seksik excelle dans sa peinture du ghetto entre les deux guerres.

Roman Kacew part en guerre contre la misère qui mêne sa mère, modiste, à la faillite et les contraint à l'exil.

En 1943, à Wilno, quand les SS éxécutent Arieh Kacew, Frida et leurs enfants Valentine et Pavel, il demande à son fils de lui pardonner sa désertion en songeant fièrement à celui qui, naturalisé français, part en guerre contre le III Reich, parmi les pilotes des Forces Françaises Libres.

Témoignage bouleversant sur les ruptures familiales et sur les heures noires de l'Europe, cet essai n'a pas l'envergure qu'ont le cas Eduard Einstein ou Les derniers jours de Stefan Zweig puisqu'il analyse deux journées seulement de la vie du double Prix Goncourt, mais il sort de l'ombre son père, totalement éclipsé de nos mémoires par sa mère Mina Owczyńska.

PS : le cas Eduard Einstein
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Laurent Seskik s'attaque dans ce roman à l'écrivain culte qu'est Romain Gary. Sous des airs de biographie, il signe un roman à la recherche de la vérité. On connaît l'amour fusionnel qui lie Romain à sa mère, en revanche on manque d'information concernant son père.
Père déserteur, il quitte Nina, la mère de Romain pour les bras d'une autre femme. le jeune Romain restera juste dans ses sentiments malgré les injonctions de la mère trompée et laissée. Romain se construira sans oublier son père et auprès d'une mère inconditionnellement amoureuse de la prunelle de ses yeux.
Je reconnais une écriture soignée, avec de beaux passages. Je regrette néanmoins le manque d'immersion dans la vie de Romain où multitudes de détails sont venus alourdir la compréhension de ma lecture.
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Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio.com et les éditions Flammarion qui m'ont permis de lire ce roman dans le cadre de la dernière opération « masse critique ».

J'apprécie particulièrement Laurent Seksik, que j'ai découvert avec « le cas Eduard Einstein » puis « L'exercice de la Médecine » en passant par la BD « Les derniers jours de Stefan Zweig » (je n'ai pas encore lu le roman et cela ne saurait tarder…) donc celui-ci était pour moi !!!

L'auteur a choisi de mettre en scène deux journées décisives dans la vie de Romain Gary, qui vont lui faire découvrir les mensonges, les trahisons: les 26 et 27 janvier 1925 pour nous parler de la vie de sa mère Nina que nous connaissons bien (Romain en a parlé dans « La promesse de l'aube » par exemple), celle de son père que nous connaissons peu, leur vie de couple qui vacille.

On retrouve cette mère particulière, encore amoureuse de son mari qui a rencontré une autre femme, et dont l'unique raison de vivre est son petit Roman, prunelle de ses yeux et qui vit dans des conditions précaires, assaillie par les huissiers qui ont tout saisi, sa boutique ayant dû être fermée.

Une jolie scène : elle rallonge les ourlets de pantalon de Roman pour montrer qu'il devient un homme :

« Se mettre à genoux devant Roman pour coudre, c'était dans son esprit comme s'incliner face au destin, se prosterner devant la vie qui continuait. Elle rallongeait le tissu, elle prolongeait les jours, conjurait le malheur à grands coups de ciseaux. »

On fait la connaissance d'Arieh, le père de Roman, fourreur comme l'était ses ancêtres, soumis à la stature imposante de son père, écartelé entre ses deux femmes au grand dam de sa famille, juive très pratiquante, rigide qui n'a jamais aimé Nina trop extravagante et libre à leur goût.

Il y a un autre personnage très important dans ce roman : le ghetto de Wilno (Vilnius) en Lituanie avec l'intolérance, l'antisémitisme qui vont crescendo, entre adultes et entre enfants et Roman, perdu dans cette situation familiale complexe, pensant que c'est à cause de lui, se culpabilisant, espérant le retour de son père, en fait les frais.

J'ai bien aimé ce roman, il s'agit bien d'un roman et non d'une biographie je le précise, dont le rythme est soutenu, les descriptions de la ville, des quartiers, du mode de vie dans le ghetto sont précises, et émouvantes.

On fait face à deux attitudes opposées : Nina qui sent qu'elle n'a plus reine à faire dans cette ville, dans ce pays et ne rêve que de partir pour la France, et Arieh Kacew et sa famille qui pensent qu'il ne peut rien leur arriver car ils habitent là depuis si longtemps malgré les pogroms.

Je connais mal l'histoire de le Lituanie, j'ai commencé à m'y intéresser au moment où les Pays Baltes se sont soulevés contre l'ex URSS, pour obtenir leur indépendance, donc je ne savais rien de l'extermination totale et méthodique de « la petite Jérusalem du Nord » (à ce propos, l'épilogue est magistral), donc je vais aller me documenter.

Amoureux ou non de Romain Gary et ses mystères, ou pour approfondir ses connaissances sur la Lituanie, son histoire, ce livre est vraiment à découvrir et il se dévore.
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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L'auteur nous amène à Wilno, l'actuel Vilnius en 1925.
Roman Kacew, futur Romain Gary a 10 ans. Il vit seul avec sa mère Nina, modiste, ravagée par le chagrin d'avoir perdu son fils aîné ainsi que par le départ de son mari. Ils manquent d'argent car le commerce de chapeaux ne marche guère.
Le père, Arieh Kacew les a quittés. Il vit avec une autre femme et va avoir un autre enfant. Il est fourreur de métier, il manque d'argent également. le métier ne rapporte rien. le pays est pauvre.
Laurent Seksik nous montre Roman doué pour les études, admiratif de sa mère et de son père.
Sa mère, Nina, abandonnée par le père, reporte toute son affection sur son fils. Elle s'invente une ancienne carrière d'actrice et un ancien prince charmant, acteur russe célèbre. Romain Gary s'en servira plus tard pour s'inventer un père renommé.
Le père Arieh est juif, a dû se battre contre sa famille pour épouser Nina, divorcée. Revenu de la guerre, son caractère avait changé et le couple n'a pas retrouvé son équilibre. Il supportait mal les comportements excessifs de sa femme. Laurent Seksik nous présente un père qui aime son fils et se justifie à ses yeux.
Il nous présente surtout un petit garçon déchiré par le divorce, espérant sans cesse que son père revienne et tiraillé par un sentiment de culpabilité comme c'est souvent le cas dans les divorces encore actuellement.
L'auteur, comme dans ses autres biographies, témoigne d'une grande empathie pour ses personnages.
L'écriture est magnifique, fait ressortir de très beaux sentiments familiaux . Le livre se révèle plus un roman qu'une biographie même si tous les faits correspondent avec les évènements vécus par le petit Roman Kacew.
J'ai été étonnée que le roman s'étale sur peu de temps sauf l'épilogue qui nous projette en 1943 mais cela ajoute de la profondeur et de l'imagination au très beau récit.
La scène de la rencontre dans la rue entre Roman et la jeune Macha qui marche désespérément dans les traces de son père disparu , est presque magique.
Les personnages sont attachants, donc la lecture se révèle captivante.

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Il en va des biographies romancées comme des romans biographiques : leur étiquette ambiguë les gêne aux entournures et à force de s'empoigner pour savoir s'ils sont plus romanesques qu'autobiographiques,leurs lecteurs en sortent toujours un peu frustrés ...

Mieux vaut je crois une biographie sérieuse, documentée, fouillée, comme celles ecrites par Genevoix ou Zweig- ou un roman débridé qu'on ne cherche pas à rattacher à un personnage réel. Je ne vois pour ma part qu'une seule exception parce qu'elle ne se découvre qu'à la fin du roman et que c'est la "surprise du chef" : En l'Absence des hommes" de Philippe Besson.

J'adore Romain Gary et je préférerai toujours ses mensonges vraisemblables ou ses vérités déguisées à tous ceux et toutes celles qu'on pourrait inventer et même découvrir pour lui.

Ceci pour dire que la Mina exaltée et tyrannique de la Promesse de l'aube qui "programme" son fils à devenir un grand héros, un futur diplomate et un brillant écrivain et maintient avec lui un cordon ombilical et épistolaire par-delà la vie et la mort , ne sera jamais éclipsée, à mes yeux, par la Nina pathétique et caractérielle de Laurent Seksig.

Que je donnerai toujours pour père à Roman /Romain le bel amant inconnu dont il a hérité le regard bleu lavande et non le gentil fourreur adultère du ghetto de Wilno.

Je n'ai pas aimé le livre de Seksig, je l'ai même trouvé pesant, tant il m'a semblé sentir à la fois l'effort d'imagination et le souci de rester malgré tout dans les clous.

Les dialogues m'ont paru artificiels, destinés surtout à mettre en valeur de louables recherches sur le métier de fourreur, la vie du ghetto, les us et coutumes religieux...etc...J' ai mille fois regretté la verve d'un Israël Joshua Singer, qui sait aussi vigoureusement donner corps à ces ghettos disparus qu'il donne vie, couleur et intensité à ses personnages!

Par charité , je ne dirai mot de l'Epilogue de Romain Gary s'en va-t-en guerre (un bien mauvais titre), constitué par un dialogue hautement improbable et d'une immense naïveté entre le liquidateur nazi du ghetto et le papa fourreur de Roman...

Qu'on me pardonne, mais je n'ai jamais été émue, touchée, ni même intéressée.

Je suis sûre que Laurent Seksig a de vraies qualités de biographe et même d'écrivain mais je pense que le sujet l'a paralysé. Et pour ma part je suis sûrement trop fan de Romain Gary pour accepter cette demi-mesure: un roman sur la vie de Roman, lui qui n'a cessé de romancer sa vie, de se dédoubler comme auteur, d'inventer un nouveau style, - et qui a eu la suprême élégance, en décidant sa sortie, de ne pas attendre que la vie lui donne le coup de disgrâce final.
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critiques presse (5)
LaPresse
05 mai 2017
L'écrivain Laurent Seksik aime alterner entre la pure fiction et le roman autobiographique, un peu à la manière de Gilles Leroy ou de Simon Liberati.
Lire la critique sur le site : LaPresse
LeJournaldeQuebec
18 avril 2017
Laurent Seksik s’est penché sur l’enfance probable du grand écrivain, entremêlant l’Histoire et sa vie intime dans un roman essentiel.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Bibliobs
28 mars 2017
Laurent Seksik revisite l'énigme Gary à l'aune du personnage le plus mal connu de son histoire: son père.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Lexpress
03 mars 2017
Simple mais poignant.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LeFigaro
02 février 2017
Laurent Seksik ne réécrit pas l'histoire de Gary. Il se sert habilement de la fiction pour la deviner, en dessiner les contours. Revenir aux racines du fiel.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (49) Voir plus Ajouter une citation
Oui, un instant Arieh Kacew, sachant qu'ils mourraient le lendemain ou le surlendemain, lui, sa femme Frida, sa fille Valentine, son fils Pavel, se souvenant combien il avait été heureux, entrevit le fol espoir que son fils, depuis les airs, allait les sauver, les libérer, arracher la Jérusalem lituanienne ou ses ruines des griffes du conquérant allemand, le lieutenant Roman Kacew, de l'escadrille du groupe Lorraine des Forces françaises libres, affilié au 137e Wing, stationné à Hartfordbridge, en mission avec son équipage, aux commandes de son bimoteur Boston III qui portait sous sa coque une tonne de bombes, son fils, officier de l'armée française, petit juif de l'armée des ombres, fils d'un simple fourreur de Wilno, volait juste au-dessus de sa tête, fol espoir des affligés, ivresse de ceux qui ont connu le bonheur en leur vie, déraison de ceux qui vont bientôt mourir, et Roman, à son poste de navigateur, était venu sauver son père, se récondlier avec lui, larguer ses bombes sur Wilno pour permettre à Arieh Kacew, fils de David Kacew, petit-fils de Mordechai Kacew, et aux survivants de sa famille de s'évader, de fuir, de vivre, trois mois, une semaine, de respirer encore le parfum de cette terre où ils avaient vécu, de remplir les poumons de la douceur de l'air en songeant à demain.
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— Évidemment, je te le dirais ! Je t'avouerais Roman, les gens du Ghetto ont parfois un tel nez, comme Marek le simplet et Schlome le cordonnier. Parfois ils ont le nez grec, comme ton ami Sacha et parfois ils l'ont en trompette, comme Macha la Dingue. Parfois leur nez est minuscule, comme Yossik le ferrailleur, et parfois il raye le plancher, comme Pinhas le vendeur de harengs. Mais je te dirais surtout que celui qui voit d'abord en toi un nez ne doit pas bien nous sentir...

J'ajouterais également, si tu avais un tel nez : sois fier de ton appendice ! Porte-le haut et loin, que les gens se souviennent de ta bosse comme de celle de Cyrano de Bergerac ! Déploie-la comme un drapeau, comme la marque d'une immense fierté. Mais tu n as pas le nez crochu, alors cesse de me tracasser avec ça !
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Mais, plus encore que Moscou, elle adorait Paris. Elle respirait le vent du soir en songeant à la France et se sentait transportée sur les Champs Élysées. Rien n’égalerait jamais Paris dans son esprit et dans son cœur. Sans jamais y avoir mis les pieds, elle se sentait déjà française. Quelle autre nation au monde serait prête à se déchirer pour l’honneur d’un capitaine juif ? Elle pensait à Dreyfus et elle aimait la France. Elle pensait à Paris et sa tristesse s’envolait.
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Le garçon ne savait plus à qui se vouer maintenant que son père l'avait trahi, qu’il était le père d'un autre enfant, le mari d'une autre femme. Son père s'apparentait à un Golem, le plus froid des monstres avait pris ses traits. Son père était Gengis Kohen.

(…)

Il se promit d'oublier sa colère, d'effacer tout sentiment de rancœur. Il dit adieu à son passé. Il porta son regard dans le lointain. Il se sentit plus léger, il avait l’impression qu’il pourrait voler, voler sur les rues de Wilno, voler dans l'air au-dessus des toits, il pourrait aller chercher sa mère et voler avec elle audessus des maisons, et enfin réaliser le rêve de Nina de quitter, main dans la main, la ville de Wilno, berceau et cimetière de ses illusions.
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Nina détestait tous les Kacew. En un sens, elle avait l'esprit de famille. Elle les détestait avec l'excès qu'elle appliquait à toute chose, les détestait sans nuances, avec une violence irraisonnée, une férocité jamais feinte. Elle excellait dans l'art de la détestation, haïssait avec un talent fou, trouvait toujours le mot juste et le terme assassin, et si sa rancœur contre tel ou tel individu s'adoucissait - car elle était capable de se réconcilier avec la même promptitude qu'elle pouvait s'enflammer contre quelqu'un -, alors elle se découvrait un nouvel adversaire, ouvrait un nouveau front. Nina était en guerre contre une succession de cibles, individus proches ou lointains qui formaient comme la parade d'effigies défilant au stand de tirs dans les fêtes foraines.
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Vidéo de Laurent Seksik
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